Briefwisseling. Deel 6: 1663-1687
(1917)–Constantijn Huygens– Auteursrecht onbekend7121. Aan prins Willem IIIGa naar voetnoot4). (K.A.)Er is naar het Bureau te Oranje geschreven en de heer Sauzin is bedankt voor zijn goeden raad, waardoor wij misschien de ‘peage’ op de Rhône kunnen behouden. De heer Eckart schrijft uit Besançon, dat de benoeming van den heer RichardGa naar voetnoot5) tot lid van het Parlement aldaar wel goed kan zijn voor de belangen van Uwe Hoogh...... ‘Je vien de sçavoir que V.A. a eu la bonté d'inspecter en personne nos calamitez à Zuylichem, et ne sçauroy trouver des paroles assez dignes pour luy en rendre ma tres-humble reconnoissance. J'espere cependant, qu'ayant assez remarqué que ces impertinens ne s'y portent que de pure malice et bestise, elle voudra me continuer la grace de reïterer par autre lettre ses ordres à ce qu'on desiste de ruiner mon bien sans necessité, tel ouvrage ne dependant pas de la difference d'autant plus ou moins de verges de terrain. J'entens qu'un emissaire de leur part, venu de Bommel, a osé declarer devant V.A. qu'ils aymeroyent mieux quitter leurs charges, que de s'esloigner tant soit peu de leur decret, par ou il paroist à quelles gens on a à faire, presupposant entr' autres belles choses, qu'il est en leur pouvoir de quitter une function publique, quand il leur plaist. Je m'estois adressé à eux par diverses lettres, les plus civiles que je pouvois, pour les mener à nous entendre de part et d'autre, mais jamais [ils] n'ont daigné m'en faire un mot de response, qui est un honneur que me font bien Mess.rs de la Cour de Gueldre, quand j'ay subject de les requerir de quelque chose touchant une ou autre chose dans le mesme quartier. | |
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Si bien qu'il n'y a que le respect et l'autorité de V.A. qui me puisse garantir de leur insolence. Je supplie humblement V.A. d'aggreer que Zeelhem ayt l'honneur de luy en faire souvenir.’ A la Haye, ce 15e Juin 1679. ‘Le Sieur Chieze crie à la faim, et me presse de remonstrer à V.A. que si elle cesse de le secourir, sa table est en hazard de se veoir renversée, ce qu'il tire de l'Estat ne pouvant suffire à se maintenir avec honneur. |
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