Briefwisseling. Deel 6: 1663-1687
(1917)–Constantijn Huygens6718. Aan A. Fabri1). (K.A.)‘Je plains le douloureux trespas du pauvre M. Milet. Mais je pense qu'en mesme temps il m'est permis de me resjouïr avec vous, de ce que vous vous trouvez delivré d'un embaras que je voyois aller de mal en pis. Il me semble qu'il eust esté à souhaitter que vostre reconciliation eust precedé sa mort; en ma religion au moins on l'eust entendu ainsi. Mais vous avez leu quelque part: Fata obstant, placidasque viri deus obstruit aures2)’. Ik hoop, dat gij het met den opvolger beter zult kunnen vinden. 25 Jul. 69. |