Briefwisseling. Deel 3: 1640-1644

2520. Aan prinses Amalia van Oranje. (H.A.)*

Er is nog geen besluit genomen aangaande het belegeren van Gennep, maar de troepen worden wel bij de stad ondergebracht en Z.H. gaat logeeren in zijn eigen huis. ‘Quant à la depesche pour Angleterre, qui va cy joincte⁸⁾, S.A. a tousjours jugé, que M. de Heenvliet ne presse pas assez sur l'impossibilité

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de ce qu'on demande au faict des ceremonies, en un païs où il n'y a que les Estats qui soyent souverains, et partant luy en repete encor les raisons par ceste lettre, le plus ouvertement qu'il est possible. Et du sceu de S.A. j'y adjouste un autre argument, tiré des dernieres constitutions de l'Eglise d'Angleterre, publiées par le Roy encor de ceste mesme année, ou des ceremonies, dont il est traicté en certain article, se nomment et declarent totalement indifferentes, et y laisse-on la liberté à un chascun, d'en user ou non, à sa fantasie. Je recommande à M. de Heenvliet, et S.A. le trouve fort bon, qu'il se fasse traduire tout l'article, car asseurement il s'en prevaudra aveq beaucoup d'effect.... L'on mande à S.A. que l'enemi a eu intelligence aveq le canonier du fort de la Croix, qui a tousjours tiré trop hault, au lieu de donner sur le pont auquel ils travailloyent. Cependant il a esté tué, mais son corps n'est encor enterré, jusques à ce qu'on sache, par informations qu'on tasche de prendre de luy et autres complices soupçonnez, s'il aura mieux merité le gibet que le sepulchre.’ A Grave, ce prem.^r de Septembre 1640.