Al de kinderliederen(1861)–Jan Pieter Heije– Auteursrechtvrij Vorige Volgende [pagina 175] [p. 175] IV. Le Rossignol. Nachtegaal, I, blz. 28. Entendez-vous, quel son pur, mes enfants, Perce là-bas, à travers le feuillage? Et cependant les oiseaux du bocage Sont endormis déjà depuis longtemps. Qui donc possède une voix si sublime? En l'écoutant mon coeur bat et s'anime. Silence! oh! c'est cet oiseau dont ma mère Nous parle tant, quand nous allons dormir: Le Rossignol, dont la voix solitaire, Surtout la nuit, se plaît à retentir, Et que souvent, dans l'espoir de l'entendre, Le lit, plus tard, doit, le soir, nous attendre. Oui, par malheur, si quelque maladie Me fait souffrir, que ce soit au printemps! Pour apaiser mes moments d'insomnie, Du rossignol j'écouterai les chants. Sans doute, il chante encore mieux, je gage, Pour un enfant qui souffre avec courage. Vorige Volgende