Primevères(1834)–André van Hasselt– Auteursrechtvrij Vorige Volgende [pagina 307] [p. 307] Silence. Sie ist dahin, die Maienlieder tönte, Die Sängerin! Hôlty. Plus n'entendrai, quand l'ombre arrive, Sa voix si fraîche et si naïve Que, sous les murs du vieux couvent, Plaintive, Tout bas j'écoutais en rêvant Souvent. A sa douce mélancolie J'ouvrais mon ame recueillie; Et les échos, doublant la voix Jolie, Y mêlaient au loin dans le bois Leurs voix. [pagina 308] [p. 308] Elle disait: ‘Aimons encore; Dans notre vie à son aurore Combien nous verrons de beaux jours Eclore! Le ciel bénira nos amours Toujours.’ Elle disait; mais, sur la rive, Plus n'entendrai, quand l'ombre arrive, Dans les murmures du zéphir, Plaintive, Sa voix, comme un léger soupir, Mourir. Mai 1828. Vorige Volgende