Lettre DCCLV.
Ga naar margenoot+La Princesse au Prince d'Orange. Elle est inquiète à son égard.
*** Le Prince avoit fait son entrée à Bruxelles la veille: ‘Daer waren vele hen seer verwonderende, niet jegenstaande sy sagen dat alle het volk so totten Prince waren genegen, dat de Prince so vrijmoedig hem aldaer dorst vertrouwen, door de grote vyandschap die hem vele loedroegen. In Holland heeft men ook in alle kerken, door begeren van de Princesse en last van de staten, dagelijx gebeden dat God Almachtig den Prince wilde bewaren voor alle aenslagen, die de vyanden der waerheid tegen synen persoon souden mogen voorstellen:’ Bor, 873b.
Monseigneur. Je voudrois vous savoir bien de retour à Envers, et ne suis guère à mon repos jusques à ce que j'entende l'occasion de vostre soudain partement, et s'yl est vray que Don Johau soit secouru de Monsr de Guise. Au reste, Monseigneur, je vous supplie de prandre meilleure garde à vostre sencté que vous n'avés faict ces jours passés, car dellà dépent la mienne et, après Dieu, tout mon heur, lequel je supplie vous conserver, Monseigneur, au milieu de tant de travaux, en sencté heureuse et longue vie... Nos filles, grandesGa naar voetnoot(1) et petite, ce porte bien et moy aussy moiennement. Ce 24 sept.
Vostre très-humble et très-obéissante fame, tant que vivera,
C. de Bourron.
A Monseigneur le Prince, à Bruxelles.