19.
Le même au Comte de Retz: 10 oct. (MS. P. C. 400).
Monsieur, je croy que nous ne serons plus en paine des affayres du Pays-Bas, car j'ai senti ung vent qui souffle ung rappel des reistres du Prince d'Orange. Le cueur des Princes sont bien changiés depuis le faict de Paris, mais j'espère que le temps et le sage advis de leurs Majestés raccommoderont touct; vous sçavez quelle accustumeGa naar voetnoot1 d'estre la première challeur en telles affayres....