Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565
(1841)–G. Groen van Prinsterer– AuteursrechtvrijLettre CVII.
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aant.Ga naar margenoot+race en fusse faylly, comme de chyens vers; car aussy byen, tant que il seront, ne combateront d'aultres armes, que il n'ont tousyour combatus, demeurans avares, brutaus, obstygnées, ambyssyeus d'orgeull, et cetera; je vous lesse an pansser le rest. Je vous prye me mander toute responce de poynt à poynt sur ma premyère, affyn que je sache à me régler, vous asseurant mon honeur que an suys an payne, car je ne voldroye pour tout le monde le fascher; j'espére au moyns, sy Mr le Prynce ne peult venyr, que ne me ferés ce movés tours ne vous y trouver, car vous savés que pour vostre servyce je yroys mylle lyeus par dellà les Indes, aussy Mr le Conte Adolff, nostre frère.... De Vyanne, ce 17 jour de juin.
Vostre très-affectioné frère et vrey amys à vous fayre servyce, H. de Brederode.
Je n'escryps à Mr le Prynce, pour luy avoyr escrypt depuys peu; je vous supplye luy fayre mes humbles recommandatyons à sa bonne grâce et que luy suys esclave; vous pryant de recheff me mander le tout byen au long, sans oublyer mes recommandatyons à la bonne grâce de mon frère Mr le Conte Adolff. A Mr mon frère, M. le Conte Lodwyck de Nassau. Le Cardinal de Granvelle écrit le 19 juin au Roi touchant la Conférence de Bayonne (p. 380): ‘Plegadios que brevemente tengamos nuevas de que seâ acabadas las vistas, y que quitada la sombra que dellas se tenia, hayan aprovechado si quiera para animar à la Reyna madre à que de veras intente el remedio de la religion, como convernia; y lo podria muy bien hazer sino estuviesse persuadida que, con entretener las dos partes en discordia, puede mejor hazer | |
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aant.Ga naar margenoot+sus negocios y establecer su authoridad; su hijo va cresciendo, y si quiere Dios que quede catholicos, podriase ver la Reyna conel en embaraço, quando conozca el dan̅o que ha recebido su tierra por se haver tractado este negocio por la via que veemos... Il est urgent que la ligue de Flandre soit détruite; elle a des ramifications jusqu'en Allemagne, où l'on en porte publiquement la livrée séditieuse (p. 376). ‘M. d'Aigmont, à lo que me dizen, bolvia muy contento de v. M, y mostrando gran gana de querer en todo seguir los sanctos y justos desseos de v.M., especialmente en el sostemiento de la religion.’ |
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