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L'union de la sagesse et du plaisir.
Dans ce banquet, où l'allegresse
Jaillit du sein de l'amitié,
C'est le plaisir, c'est la sagesse,
Qui doivent régner de moitié.
Goûtons le charme ravissant,
Et répétons, d'une voix unanime:
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean,
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean,
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Cette fête étoit, chez nos pères,
De rares vertus, de mystères,
De plaisirs purs, d'aimable jeux:
Goûtons le charme ravissant,
Et répétons, d'une voix unanime:
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean,
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean.
Sans le plaisir, la vertu blosse
Par son excès d'austérité;
Mais le plaisir, sans la sagesse,
N'a qu'une fausse volupté.
Goûtons le charme ravissant,
Et répètons, d'une voix unanime:
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean,
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean.
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Le plaisir chassant la tristesse,
La vertu réglant le desir,
Le plaisir est à la sagesse,
Ce qu'est la sagesse au plaisir.
Goûtons le charme ravissant,
Et répétons, d'une voix unanime:
C'ess la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean,
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean.
Dans cette fête solemnelle,
Que le Maître vient embellir,
Nous avons un parfait modèle
De la sagesse et du plaisir.
Suivons l'accord sublime,
Dont il est le tableau vivant,
Et répétons, d'une voix unanime:
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean,
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean.
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Sagesse, descends dans nos ames,
Plaisir, viens charger nos canons;
C'est le mélange de vós slammes
Qui fait le bonheur des Maçons.
Dans leur accord sublime,
Buvons à notre Président,
Et repétons d'une voix unaníme:
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean,
C'est la Saint-Jean, c'est la Saint-Jean.
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