Aan dezelfde.
Regarde un peu, mon enfant quelle bonne nouvelle est contenue dans la dépêche télégraphique ci-jointe. Mon frère sera plus pour moi qu'un simple frère, il sera mon confident, il verra ton portrait, il jugera de mes projets de démission, il réglera nos finances. Tu vois, nous allons lui donner du travail.
Je t'envoie en même temps une lettre de mon oncle d'Arnhem. Que dis-tu des reproches, des conseils, des appréhensions, et des étonnements de ce vieil ‘enfant de ce siècle’? Préfèrerais-tu que je fusse comme cela? Le PS. surtout est charmant.
......Adieu, ma chérie, à mercredi soir. Seras-tu bien sage jusque-là?
Ton fidèle Chevalier.
[1857]