Delfs Cupidoos schighje(1652)–Arnold Bon– Auteursrechtvrij Vorige Volgende [pagina 226] [p. 226] Cantus QUoy pensez vous belle Cloris, Qu'on baiser esteigne ma flame, Et que le tourmens de mon ame, Soyent si facilement gueris; Ce n'est pas Cloris un baiser, Qui pourra mes maux apaiser. 2. Plus vos baisers sont Amoureux, Plus mon ardeurr est violente, Et mon humeur impatiente, Me fait soupirer dans ces feux, Disant, Cloris un doux baiser Ne scauroit mon mal áspaiser. FIN. Vorige Volgende