Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
(1976)–Willem Bentinck– Auteursrechtelijk beschermdSorgvliet, 5 september 1750Je continue toujours à vous écrire, quoique je ne sache pas où mes lettres vous trouveront et que je n'ai pas grand'chose à vous mander. Je suppose pourtant, que si vous n'êtes pas encore à l'heure qu'il est à Hanovre, vos paquets vous y attendent. Je m'étois flatté toute cette semaine d'avoir quelque nouvelle de vous, sur laquelle j'eusse pu prendre quelque parti dans la situation où je suis. L'incertitude où vous m'avez laissé me fait d'autant plus de peine, que mon désir d'aller en Angleterre est beaucoup augmenté. (Familiezaken). Vous m'avez écrit il y a quelque tems au sujet de monsieur Verdun comme si vous croyiez qu'on fut ici sur le point de former un conseil de commerceGa naar voetnoot1), mais il s'en faut bien qu'on n'en soit encore là. Je vous ai déjà mandé, qu'on renvoye à peu près tout à votre retour. Je ne sai si ce n'est plutot pour renvoyer, que parcequ'on espère d'avancer davantage lorsque vous serez revenu. J'admire surtout, que des gens, qui, pendant toute votre absence, n'ont pas cessé de travailler contre vos idées et vos principes, s'affichent encore pour vous attendre avec grande impatienceGa naar voetnoot2). Il faut, qu'ils se croyent bien établis dans la possession de vous duper. Monsieur De Larrey a quelque idée pour monsieur Verdun, qui ne me paroit pas mauvaise. (Particuliere zaken). Bien des complimens à messieurs De Peterswald et De Wedel. Adieu. Tout à vous. |
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