Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
(1976)–Willem Bentinck–
Auteursrechtelijk beschermdZwolle, 26 april 1749Je suis très fâché de voir, que les choses avancent si lentement. Où en est la demande à Vienne pour le prince LouisGa naar voetnoot1). Il étoit arrêté il me semble que c'étoit la chose qui pressoit le plus et qui devoit aller main en main avec le nouveau pensionnaire. Ces deux articles sont si pressez et d'une si grande importance pour la considération et le crédit dans les païs étrangers, que jusqu'à ce qu'ils soient mis en exécution, la République est absolûment pour eux un caput mortuum. La situation des affaires générales me paroît | |
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pourtant devenir tous les jours plus critique. L'isle de TabagoGa naar voetnoot2) dont je ne sai pourtant rien que par les gazettes, ne me paroît rien promettre de bon, surtout venant dans le même tems, que les brouilleries apparentes dans le nordGa naar voetnoot3). J'apprens par des personnes venant de Hollande, que le Prince a encore eu la fièvre. Cela me fâche d'autant plus, que je crains que cela ne porte que des retarde mens, qui nous sont très nuisibles ... Je vous serois fort obligé, si vous vouliez, lorsque vous ne pouvez pas m'écrire des lettres détaillées, les faire écrire par Zeno Bentinck ou par Verdun, quand ce sont des choses qu'il peut savoir, car je suis ici sans aucune connoissance de ce qui se passe, moyennent quoi il faut commencer ab ovo à me donner des informations, lorsque nous nous rencontrons. Priez HeijdenGa naar voetnoot4) et vos deux associezGa naar voetnoot5) de tenir aussi en vue le vieux Ten BrinkGa naar voetnoot6), qui est à La Haye. |
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