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Th.I. de Larrey aan Willem BentinckGa naar voetnoot1)
[B.M., Eg. 1746]
Puysieulx m'a tâté. Il m'a proposé la confiance parfaite. Il dit, qu'il sent bien, que ce n'est que l'ouvrage du tems; que ses intentions sont sincères, que, si on étoit sage, il conviendroit que les puissances maritimes fussent unies à la France moyennant quoi il ne se tireroit pas un coup de fusil en Europe sans leur permission.
Il se défie; le fait sentir, aussi bien que la puissance du roi, si on le trompe.
Voyez ce qu'il faut faire de cela et comment je dois me conduire. Mon rôle est difficile, par ce qu'il n'est pas décidé quel ambassadeur vient de notre part et quand. Faites-moi instruire par quelqu'un de ce qui se passe. Mon ignorance est ridicule. Marselis m'embarasse, c'est un fardeau.