Briefwisseling en aantekeningen. Deel 1
(1934)–Willem Bentinck– Auteursrecht onbekendDécembre 1746.Le 13 de Déc. 1746 ChavannesGa naar voetnoot2) reçut un Courier avec la nouvelle que l'armée Autrichienne et Piémontoise avoit passé le Var le 30 Déc. | |
[14 Dec.]Le 14 Déc. 1746 le Duc de Cumberland arriva à la Haye à deux heures du matin. Il alla avec My Ld. Sandwich voir le Président des Etats Gén., Mr. de Bottestein, et fut complimenté au nom des Etats Gén. par le Président. Il eut vers le midi grande cour, et dîna chez le Pce. de Waldeck, de l'hôtel du quel les marmitons alloient chez Mr. Trevor emprunter des marmites et des broches entre deux et trois heures après-midi. Le lendemain 15 le Duc de Cumberld. alla le matin voir le Pensionaire, où la visite dura une bonne demie heure. Vers le midi j'allai au Keysers Hof où le Duc logeoit. S.A.Re. me fit entrer dans son Cabinet et entra d'abord en matière sur la situation des affaires, et parla avec une justesse et une précision d'idées, qui surpassa mon attente, aussi bien que la simplicité et la netteté avec lesquelles il s'énoncoit. Il témoigna être surpris de trouver les choses ici sur un pied beaucoup meilleur que ce dont il s'étoit flatté, sur ce qu'il en avoit entendu en Angleterre. Il étoit satisfait de la manière dont le Pensionaire lui avoit parlé. Il dit que le Pensre. lui paroissoit fort retenu et fort circonspect dans ses discours, comme cela étoit convenable à un homme dans son poste, mais qu'il en avoit assés dit pourtant pour donner espérance | |
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que les choses iroient mieux qu'il n'avoit osé espérer avant d'être ici; que lui Duc de Cumbd. avoit dit au Pensre. qu'il se faisoit fort de faire trouver ici les 40m. hommes à la solde d'Angleterre ou AnglaisGa naar voetnoot1) vers le tems que l'on jugeroit nécessaire; que les deux Régiments Hessois, qui seroient les derniers, seroient à Maestricht le 28 de Février; que du reste si on pouvoit trouver des quartiers ou du logement pour les Troupes, il feroit venir sur le champ les Régiments additionels, qui doivent venir d'Angleterre, mais qu'il croyoit qu'on en seroit embarrassé si on les avoit trop tôt; mais qu'il répondoit qu'elles seroient où on les demanderoit et dans le tems qu'on les voudroit; qu'il espéroit que nos Troupes, nos 40m. hommes, seroient prêts au même tems; que par rapport aux Autrichiens il y avoit plus de probabilité que jamais, qu'ils seroient complets à tems; qu'il croyait qu'outre les 300m. ££. St., que l'Angleterre veut donner à l'Impératrice Reine, on lui donneroit encore un subside additionel; et qu'il étoit d'avis que ce dernier ne fût donné qu'à mesure que l'on verroit pendant l'été que ces Troupes seroient complettes; qu'il espéroit qu'avec un corps si considérable l'on pourroit parvenir à une bonne paix. Il dit qu'en Angleterre l'on appréhendoit, qu'ici l'on n'en fit une séparée, et me demanda si cela étoit à craindre. Je lui dit que je l'avois très fort appréhendé pendant quelque tems, mais qu'à présent je croyois que cela étoit beaucoup moins à craindre, quoiqu'il y eût toujours ici des gens assez timides, assez peu avisés, et assez peu informés du véritable intérêt de la République pour croire que ce seroit une chose utile et nécessaire de faire une paix quovis modo; qu'un des grands arguments dont on s'étoit servi étoit le peu de secours, et le peu d'apparence de soutien de la part de nos Alliés; mais que la venue de S.A.Re. devoit être regardée, et l'étoit réellement, comme un gage de l'intention du Roi de soutenir la République de toutes ses forces; qu'outre cela tout le monde devoit être persuadé que, chéri de la nation comme le Duc l'étoit, il seroit soutenu et accompagné de la façon qu'il faut pour maintenir son propre honneur aussi | |
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bien que celui de la Nation; que si quelqu'un en vouloit encore douter, il seroit très facile de l'en convaincre; que je voyois déja, depuis que la venue de S.A.Re. avoit été connue, et surtout depuis qu'elle avoit été exécutée si promtement, bien des gens embarrassés faute d'excuse pour couvrir leur mauvaise volonté; que les sentiments de S.A.Re. et l'authorité qu'Elle s'est acquise par sa valeur et par sa bonne conduite, et qui est connue de tout le monde, feroient beaucoup d'impression ici et donneroient un très grand poids à tout ce que My Ld. Sandwich diroit; et que de retour en Angleterre le Duc seroit encore plus utile pour convaincre ceux qui étoient prévenus par les informations qu'ils avoient pendant longtems reçues d'ici; que je ne pouvois me dispenser de dire en passant que depuis longtems les mauvaises dispositions ici avoient été fomentées et entretenues par des personnes de qui on auroit le moins dû s'y attendre. ‘Je vous entens’, dit le Duc, ‘et je vous dirai qu'en Angleterre on commençoit déjà à trouver que My Ld. Sandwich se flattoit trop - - was too sanguine - -, mais je vois à present que réellement les choses ne sont rien moins que désesperées ici, et qu'il y a moyen d'en tirer parti’. Sur quoi je lui dis que j'en étois persuadé et que c'étoit un malheur, qu'on n'avoit jamais été à portée d'essayer les forces, comme j'espérois qu'on alloit l'être à présent, soutenu par le puissant crédit du Duc et par l'appui de toute la Nation. Le Duc changeant tout d'un coup de conversation me parla du Pce. de Waldeck, disant qu'il le connoissoit très bien, et qu'il savoit que j'étois à cet égard dans les mêmes idées que lui, et que j'étois informé des sentiments du Roi sur ce sujet; qu'il n'avoit guères vu d'homme d'un plus mince génie - - more shallow - - et qu'il souhaitoit fort qu'on put disposer autrement du Commandement; puis en riant me dit que je l'entendois bien; et me demandant ce que je croyois qu'il faloit faire pour parvenir à ce but, je lui répondis: ‘Rien par provision’, et que mon opinion étoit qu'il faloit commencer par régler tout ce qui regardoit la campagne, et que quand tout seroit réglé, alors il seroit tems de parler de l'article du commandement; que comme il n'y avoit pas de periculum in morâ, mais au contraire, je demandois quelques | |
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jours pour penser, et que j'aurois l'honneur d'en reparler à S.A.R.; que j'étois fort fâché que le Cte. Maurice fut venu ici si mal à propos; que cela donnoit du soupçon et avoit trop tôt réveillé ceux qui étoient pour le Pce. de Waldeck; que si le Pce. d'O(range) servoit avec le Cte. Maurice tout iroit bien, mais que si le Cte. Maurice commandoit seul les troupes de l'Etat, je craignois que S.A.R. n'auroit pas la satisfaction, ni la cause commune l'avantage, qu'on auroit lieu d'attendre de la situation présente des affaires, qui me paroissoit plus favorable, qu'elle ne l'avoit été depuis la mort de l'Empereur Charles VI; que comme l'affaire dont il s'agissoit étoit très désagréable à ceux dont on avoit besoin pour mener à bien l'affaire principale i.e. les préparatifs vigoureux pour la Campagne, elle devoit être traitée avec beaucoup de circonspection. Le Duc approuva beaucoup cela et dit qu'il tâcheroit de faire taire le comte Maurice; que le Pce. de Waldeck - - qui sortoit du cabinet du Duc, comme j'y entrois - - lui avoit parlé comme devant commander l'année prochaine, et qu'il s'étoit bien gardé de rien dire qui lui pût faire venir l'idée que le Duc pensât autrement, parce qu'il avoit déjà été prévenu là-dessus par My Ld. Sandwich; qu'il se garderoit bien aussi de rien laisser échaper qui put donner le moindre soupçon à aucun autre. Je lui dis qu'outre cela il y avoit une autre précaution à prendre pour ne pas faire reculer de certaines gens ici, c'étoit de faire influer dans tout ses discours le désir de la paix; le Duc dit que c'étoit aussi réellement l'intention du Roi et qu'il y avoit en Angleterre comme ici des gens qui poussent la chose à l'excès; mais que l'intention du Roi étoit que ce fût une bonne paix. Je convins avec lui de la chose, mais je lui conseillai de parler simplement de paix sans epithète, pour ne pas donner occasion à des discussions. Le Duc dit qu'il croyoit que les négociations iroient à présent leur train, Sandwich ayant reçu la veille un Courier de Vienne et Robinson se flattant que la Cour de Vienne accepteroit l'expédient proposé, et permettroit au Comte de Harrach de recevoir de Breda les informations de ce qui se passeroit dans les conférences; et continuant à parler il répéta que le Roi souhaitoit réellement la paix - - ‘Vous voyez’, dit-il, | |
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‘que je laisse l'épithète, même en parlant à vous’ - -, et qu'il auroit bien soin de parler à cet égard d'une façon à ne point effaroucher. Après quoi le Duc me congédia. Je ne puis me rappeller tout le détail de cette conversation qui dura une grosse demie heure. Mais je trouvai le Duc parfaitement au fait des affaires, et informé de quantité de détails, qui me montrèrent clairement que l'on a en Angleterre une parfaite confiance en lui et qu'on ne lui cache rien; j'admirai la manière simple, noble et naturelle avec laquelle il parloit, aussi bien que la justesse de ses idées sur les véritables intérêts de la Gre. Brete. et de cette République, sur l'importance qu'il est de conserver quovis modo l'union entre les deux Nations, pour le maintien de la liberté de l'Europe, de la constitution en Angleterre, de la Religion protestante et de la couronne dans la maison de Hannovre. Je me levai et m'en allai plus animé, et plus enivré du plaisir que m'avoient donné les idées que cette conversation avoit réveillé en foule dans mon esprit, que si j'avois bu deux bouteilles de champagne.
A l'assemblée KerseboomGa naar voetnoot1) me demanda si le Duc n'avoit rien pour le légitimer ici, et pour faire foi de ce qu'il disoit. Je dis ‘oui’. - ‘Quoi?’ - ‘Son Extrait Baptistaire’. Le Duc m'a aussi dit que le Pce. de Waldeck lui avoit fait offre de ses services auprès de ses amis ici, nommant Messrs. de Dort et d'Amsterdam. Et sur ce qu'il remarqua quelque étonnement chez le Duc de ces liaisons, il dit au Duc: ‘Qu'est ce que cela fait avec qui on est lié, pourvu que dans le fond l'on travaille au même but?’ | |
[22 Dec.]Le 22 le Pce. de Waldeck est allé trouver le Duc pour se faire un mérite de la résolution de Hollande qui ne fut prise que ce jour-là même, et qui N.B. devoit être secrette, car on exigea de nouveau le secret dans la Commission tenu ce matin-là, et quand le rapport s'en fit, on ferma les portes au verrou. Le Pce. de Waldeck assura | |
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le Duc que Monsr. Van de Poll et Mr. Van den Bembden étoient dans de très bons sentiments, et très zélés.
Le 21 Déc. 1746 le Marl. Batthyany arriva à la Have à neuf heures du soir. Le 22 à 9 heures du matin j'allai voir le Maréchal; et parlant des affaires sur le tapis, entre autres choses du Cordon et des arrangements pris par le Marl. pour la sûreté de ce cordon, je lui dis que le Pce. de Waldeck m'avoit dit qu'il ignoroit tous les arrangements pris par le Maréchal, et que cela s'étoit fait après son départ. Le Maréchal me dit que ce cordon s'étoit fait de concert avec le Pce. de Waldeck, et que même le Pce. de Waldeck avoit proposé quelque changement dans la première idée pour deux Régiments, ce qui avoit après cela été arrangé comme il l'avoit souhaité. Il me dit aussi, sur ce que je lui dis que le Pce. de Waldeck disoit que le Marl. avoit approuvé le 10 Oct. la disposition faite par lui Pce. de Waldeck, qu'il étoit vrai qu'il avoit vu les dispositions faites par le Pce. de Waldeck la veille, mais qu'il avoit été inutile de les critiquer, le Pce. de Waldeck n'étant pas sous ses ordres. Je lui dis là-dessus que le Pce. de Waldeck avoit reçu ordre de lui obéïr, à quoi il répliqua que le Pce. de Waldeck lui avoit dit qu'il avoit reçu une lettre du Greffier qui lui disoit qu'il devoit obéïr au Maréchal, mais qu'il avoit en même tems ajouté qu'il ne le feroit jamais de la vie; que lui Marl. Batth(yany) avoit eu pour but pendant toute la campagne de ne point rompre, à cause des mauvais effets pour la cause commune, et que pour cela il avoit passé bien des choses; et il me pria de faire ensorte que l'année prochaine la chose fut réglée de façon qu'il ne put y avoir aucune difficulté, qu'enfin cela fut réglé, afin qu'on sût à quoi s'en tenir, et qu'on mit à la tête de nos Troupes qui l'on voudroit, pourvu seulement qu'il voulut obéïr; que tous ces Corps séparés, sous le nom de Réserve, étoient la ruine d'une armée, et que les effets en avoient été fort mauvais cette campagne. Il me dit aussi que quand la Reine Impératrice lui avoit dit qu'Elle vouloit faire Waldeck Maréchal, il s'étoit tu tout court et n'avoit rien répondu; que la Reine avoit ajouté que cela feroit plaisir en Hollande, que c'étoit pour | |
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cela qu'elle le faisoit. Je lui dis que c'étoit à mon avis une faute très grande qu'on avoit faite à Vienne et cela avoit beaucoup déplu ici à toute l'armée et à tous les officiers du païs. Il me dit que c'étoit Rosenberg, qui l'avoit représenté ainsi, et que c'étoit sur son exposé que cela s'étoit fait; que le Pce. de Waldeck avoit la passion de commander en chef; que c'étoit pour cela, - - à ce que lui, marl. Batth(yany), lui avoit entendu dire lui-même - - qu'il avoit pris service ici, parcequ'il y en a tant d'autres devant lui dans le service Impérial qu'il ne pouvoit pas se flatter de parvenir de longtems à un commandement en chef. | |
[24 Dec.]Le 24 Déc. Le vieux Buys demanda aux Etats de Holle., qui se séparèrent ce jour, sa démission comme Député aux Etats Généraux; on la lui accorda, il fut remercié, et dispensé d'assister dorénavant à l'assemblée des Etats Généraux et aux conférences. Après cela le Cr. Pensionaire Gilles demanda si on jugeoit à propos d'en nommer un autre pour vaquer dans ce poste, pendant le tems qu'il seroit obligé d'être à Breda. Il fut trouvé bon qu'oui, et de nommer pour cela GillesGa naar voetnoot1), Pensionaire de Haerlem. Avant l'assemblée ce jour là Mr. de 's Gravemoer me dit quel étoit le dessein de Buys, et qu'on pensoit à lui substituer Gilles. Je n'en avois pas entendu parler auparavant. Mais le lendemain 25 Déc. j'appris par le Greffier qu'on avoit poussé Buys à faire cette démarche, et qu'il y avoit plus de huit jours que cette affaire étoit résolue. N.B. Halewyn me dit le 24 Déc. auprès du feu dans la sale des Etats: ‘vous avez tant tracassé Buys que vous l'avez chassé des Etats Gén., et les grandes villes ont tant tracassé feu Mr. Van der Heim qu'il est crevé’. - ‘Quelles villes?’ lui dis-je, ‘Dort et Amsterdam?’ - ‘Oui, c'est cela même’, dit-il. | |
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ici - - c'est le mot dont s'est servi Waldeck, et qui avoit également choqué, comme de raison, le Duc et le Maréchal - -, que le Maréchal lui avoit répondu que le Pce. de Waldeck devoit assés le connoître pour savoir qu'il n'étoit pas homme à faire des malices à qui que ce soit, que d'ailleurs étant étranger ici, il ne lui convenoit pas de se mêler d'affaires domestiques, ni de brouiller rien ici, mais que tout ce qu'il souhaitoit étoit seulement que tout fût réglé pour la campagne de la façon qui serviroit le plus efficacement au service de la cause commune. Burmania - - le BrigadierGa naar voetnoot1) - - m'a dit et répété plus d'une fois que Waldeck a vu pour la première fois les ouvrages qu'on avoit faits derrière la Dyle entre Malines et Aerschot, et auxquels on avoit travaillé pendant plusieurs semaines, qu'il les avoit, dis-je, vu pour la première fois, quand il y avoit mené le Marl. Batthyany. | |
[28 Dec.]Le 28 Déc. le Maréchal Batthyany m'a dit la même chose que le Duc m'avoit dit le 26; se servant du mot de malice. (Batthiany herhaalt zijn klachten over Waldeck; eischt zijn vervanging.) Que ce qu'il en disoit étoit à moi en ami, qu'il ne savoit pas, comment une démarche qu'il feroit publiquement contre Waldeck seroit prise à sa Cour, où Waldeck avoit des amis, et que, si après une démarche pareille faite, il venoit à avoir un désaveu de sa Cour, cela feroit un très mauvais effet, et empireroit les choses au lieu de les améliorer; qu'il étoit vrai que le Pce. de Waldeck avoit une humeur incompatible - - ce sont ses propres mots - - que lui Marl. croyoit pouvoir vivre avec toutes sortes de gens, et feroit tout ce qu'il pourroit pour tenir les choses sur un pied d'union et d'harmonie, comme il avoit déjà fait pendant la campagne, ne se considérant lui-même comme rien, et mettant à quartier tout ce qu'il y avoit de personnel; que s'il demandoit lui-même le commandement de nos Troupes au-dessus | |
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du Pce. de Waldeck, et sous le D.Ga naar voetnoot1) il feroit ce qu'il n'avoit encore jamais fait, n'ayant jamais demandé aucun commandement; - - il me dit en passant à cette occasion que quand la Reine l'avoit envoyé l'année passée en Flandres, elle lui avoit dit qu'elle étoit accoutumée à l'envoyer où les affaires étoient délabrées, et qu'elle espéroit qu'il les remettroit - -; que c'étoit à nous autres ici à faire ensorte que les choses fussent arrangées avec plus d'ordre et de précision que l'année passée, que quand à lui, il avoit commandé en chef, et que quoi qu'il sentoit parfaitement le prix d'un honneur pareil, il n'y étoit pas sensible comme un Enfant, et qu'il ne lui convenait pas de le demander, que d'ailleurs je pouvois de reste comprendre quels étoient ses sentiments, et son avis sur cette matière. Il ajouta que le Pce. de Waldeck lui avoit parlé ce matin-là même comme s'il se croyoit être sûr de son fait pour le commandement, et qu'il savoit que lui Pce. de Waldeck étoit venu à la Haye......Ga naar voetnoot2) s'il avoit tardé il étoit culbuté. |
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