Over Symbolisme en Symbolisten. In een der zomerafleveringen van Le Mercure de France trof ik een artikel, waarop ik reeds vroeger de aandacht hadde gevestigd, ware het al te geringe bestek, waarover wij voor deze rubriek ‘Mengelingen’ beschikken, éens te meer geen hinderpaal geweest.
Dit opstel, dat niet minder dan 15 kompakt gedrukte bladzijden bevat, en tot titel voert, Apologie pour la Peinture, behelst over de moderne kunst- en letterbeweging in het algemeen en over de schilderkunst en het symbolisme in het bijzonder beschouwingen, welke ik wel niet alle zou kunnen of willen onderteekenen, maar die, verschenen in dit zeer geavanceerd tijdschrift en onderteekend met dezen naam: Charles Merki, zeker niet zonder beteekenis zijn.
Zelf gaarne als letterkundig novateur genoemd, en, zooals hij gereedelijk verklaard, allen die naar nieuwheid zoeken op voorhand genegen, werpt Merki eerst een blik op al het verdienstelijke, dat hij in het werk der allerjongsten ontdekt, hun zorg voor andere uitvoeringsmiddelen, hun voorliefde voor minder gemakkelijke en vooral minder banale onderwerpen, en wat dies meer, om zich daarna af te vragen, of - al het gerucht, rond deze essais aventureux gemaakt, wel gewettigd, - of de wijdgapende verbazing van zoovelen bij het zien van de patisseries van Vincent, en de macchabées van Mme Jacquemin, niet een heel klein beetje verdiend is.
Na, op zeer kurieuze wijze, en wel eenigszins op het spoor van den veel te zeer vergeten Lessing, de noodzakelijke grenzen tusschen plastische-, literaire- en toonkunst te hebben aangewezen, gaat Merki de hervormers aldus te lijf:
‘Des bénêts prétendirent confondre les trois arts, et que le mot aurait une couleur rouge ou bleue, et le son d'une harpe, d'une flûte, d'une trompette; nous savons où nous voulurent mener les instrumentistes, le Traité du Verbe, toutes les balivernes de M. Ghil (paix à ses cendres). La littérature, par bonheur, n'est point une charade, ni le Gymnase des OEdipes, ni l'admiration de cinq jeunes gens le but qu'elle se propose; nous déplorons simplement la niaiserie de telles tentatives, et lorsque la peinture, à son tour, déclare vouloir se manifester par hiéroglyphes, lorsque des esthètes fallacieux, en recherchant le symbolisme, ou tout uniment l'idée d'une toile bien ou mal torchée assignent aux choses une signification de position, déclarent y reconnaître la valeur d'un mot, ne plus être en présence d'un sujet reproduit ou d'une imagination projetée, mais devant une phrase; non même devant une synthèse des choses, mais devant leur symbole, nous sommes bien forcés de constater que c'est inconsidérément faire revivre un procédé quelque peu égyptien, créer à nouveau une écriture idéographique, non un art pictural.’
Merki geeft de schilderkunst, art plastique au sens le plus divers qu'on voudra bien assigner à ce mot malheureux, den wenk, noch muzikaal te zijn met Munkaczy's Dood van Mozart, noch literair volgens de leer der Magiërs of die der évolutisten.
‘Je ne recherche cependant point,’ zegt hij, ‘à faire le procès de la peinture symboliste; la peinture rébus me semble surtout une aberration, qui relève plus de la médecine mentale que de la simple critique, et le différend peut être envisagé d'autre façon. L'art doit être le témoin de la Beauté; par malheur, mais il faut le dire, l'absence du sentiment de beauté frappe à la 1re vue dans l'oeuvre des novateurs, qu'ils soient d'une chapelle ou d'une autre, néo-impressionnistes, symbolistes, mystiques.’
Vooral op deze hoofdvoorwaarde van elk wezenlijk kunstwerk: schoonheid, dringt hij met klem aan, niet zonder er bij te voegen, dat dit eeuwige schoon ons alleen in mooiheid van kleur en vorm kan geopenbaard worden.
‘J'insiste à dessein’ verklaart hij ons. ‘Nous n'avons qu'à nous remémorer l'oeuvre d'hier, pour nous convaincre que le sentiment de la Beauté n'est point l'apanage d'un groupe, l'impression de Beauté le résultat d'une manière, d'un genre. Nous l'éprouvons devant des oeuvres très diverses, inégales de val ur, parfois contestées, et pour ne citer que des choses très connues, devant la Galathée de Gustave Moreau, le Jeune homme et la Mort, la Nymphe tenant la tête d'Orphée; devant la fresque magistrale de Puvis de Chavannes au Panthéon; l'Entrée des Croisés de Delacroix; devant certains paysages féériques de Corot, les peintures délicieusemeut vagues de Carrière, les merveilles enfin qu'on exposa des préraphaélites anglais, en 1889. Même j'éprouve une impression de beauté, moindre sans doute, devant les toiles de Régnault: le Général Prim, l'Exécution sans jugement Mais nous retombons ici dans la peinture exclusivement plastique des manuels, et je déclare immédiatement, afin qu'on ne me trouve pas trop pompier: il est difficile d'éprouver la plus petite émotion d'art près du Rève de M Detaille, malgré son patriotisme violet, près des combats plus ou moins épiques de M. Alphonse de Neuville, des mauvaises photographies de Meissonnier. Le gigantesque barbouillage noir de l'Enterrement à Ornans, et la Vague en zinc du sieur Courbet, l'Olympia de Manet me font vomir, et j'estime que l'Exécution de Maximilien déshonorerait la dernière des baraques, à la foire du
Trône.’
't Is zeker wel overbodig te zeggen, dat wij het onverzoenbare exclusivisme van deze laatste regelen, waarop het aloude, banale en schoolmeesterachtige: quod gratis asseritur, gratis negatur, wel wat van toepassing is, niet voor rekening nemen. Zekere, nu heel verouderde redeneeringen van Hugo en zijn kornuiten over een leelijk-schoon en een mooi-schoon, zouden hier anders wel op hun plaats zijn.
Luisteren wij echter verder:
‘C'est l'amour du laid, de l'ignoble, hérité du macaronique Samuel Johnson; c'est le mabrulisme à sa dernière période, la besogne d'une confrérie de déments, lâchés tout d'un coup dans l'officine d'un fabricant de couleurs. Des cadres, le plus souvent passés à la craie, récèlent les moutons roses, les vaches violettes de Jeypore, puis les femmes vertes, des ciels en caca, des arbres en confiture; le vert perroquet, le bleu outrageant, le rouge de tuile se bousculent, se heurtent, glapissent, hurlent avec l'ensemble et l'effronterie d'une image d'Epinal. Sous prétexte de “recherches curieuses”, de “constatations cruelles”, en déclarant vouloir étudier, combiner les tons, on a exposé des pochades, des farces d'atelier, quelque dépoitraillement de souillon, les mamelles croulantes d'une quadragénaire, des gueules de massacre, des maisons et des terrains cerclés de noir, des pantins gauchement imités des Japonais ou dans la manière hiératique des Primitifs. Certains font “du vitrail”, ou mettent en action les choses terriblement occultes du magisme, de la théosophie, les calembredaines qui firent la fortune de M. Péladan. Les tachistes envoient des figures ou des sites grêlés jusqu'au cadre, et qui ne représentent guère mieux que le derrière des chaudrons. Surtout, on voit dominer d'invraisemblables tranches de potiron, des panneaux étranges où des tartes à la frangipane, des éclairs au chocolat, des nougats, des fromages baveux, ont été longuement et rageusement écrasés sous les semelles d'un palefrenier.’
Na eenige waardeerende woorden over de landschapstudies van enkele jongeren, barst de bom los, vlak vóor den voet of boven het hoofd van den veel besproken Van Gogh.
Merki viert den vollen toom aan zijn spotlust! Dat is