Multatuli en de romantiek.
Een nieuwe illustratie voor de stelling, dat Douwes Dekker het type was van een romanticus, wordt geleverd door zijn opvallende gelijkenis met het portret van Michelet, zoals een intiem geestverwant het tekende:
«Depuis sa jeunesse jusqu'à son dernier jour, il a vécu dans la fièvre; il vivait dans une atmosphère particulière que lui seul pouvait respirer, tant la température en était haute. Sa mobilité, son cervean surchauffé, son incessante explosion de passion étaient entremêlées d'humour, et cet enjouement naturel le protégeait au milieu de cet état d'agitation, de frémissement nerveux qui augmenta chez lui avec les années. Toujours préoccupé de ses idées intérieures, il disait en riant qu'il se faisait un devoir de ne pas écouter quand on lui parlait. De même, il affirmait qu'il ne lisait jamais. Ce qui est certain, c'est l'enfantement perpétuel de son esprit. Ses créations étaient toujours si originales, si plaisantes ou si touchantes par la pitié, par l'éloquence et surtout par l'imprévu, que c'est grâce à ce don particulier qu'il devint populaire».
(Mme Edgar Quinet: Cinquante ans d'amitié. Michelet-Quinet [1899] p. 183).
G.B.