res après impression est impossible, et on comprend que l'éditeur n'accepte pas ce surcroit de travail. Si donc vous voulez bien corriger les cahiers, renvoyez les moi par parties, au fur et à mesure de la besogne faite. Si vous n'en avez pas le temps, ou désirez ne pas entreprendre ce travail, il faudra renoncer à la publication, et moi perdre l'argent que j'ai avancé.
De Noén voudrait terminer en 2 mois, ce qui me paraît difficile, à moins qu'on ne puisse lui remettre un texte définitif en temps utile.
Veuillez, Mademoiselle, agréer l'expression de mes meilleurs sentiments.
G. Van Butsele
en hâte