der molens, en ons volk als dragers van klompen en wijde broeken beschouwen. Verder gaat hun gezichtskring niet.
Het geheele reisverhaal van Desjobert geeft blijk van een goeden kijk op de dingen en daarom nemen we in onze Serie uit den ouden tijd de opmerkingen over, die hij ten beste geeft over de Hollandsche vrouw. We doen dit in de taal van des schrijvers land, omdat de euphemie dier taal een enkele, en toch misschien juiste opmerking moet verzachten.
Het behouden van zijn taal is des te meer geoorloofd, wijl hij in het hoofdstuk: Extérieur et habillement des Hollandais ons Nederlanders een compliment maakt van groote beteekenis op dit stuk, als hij schrijft: ‘Les Hollandais ont l'habitude de bien parler plusieurs langues à la fois, plus qu'aucune autre nation d'Europe: le français et l'anglais surtout, leur sont familiers: on les voit changer d'idiome, sur le champ avec la plus grande facilité.’
Hij maakt de zoetigheid wel een beetje bitter door in één adem te laten volgen: ‘Il faut convenir qu'il y en a, qui prononcent le français d'une manière tres barbare et qui écorchent les oreilles, mais, enfin, ils entendent, et se font entendre’. Dit laatste is dan weer een pleistertje op de wond, er bijvoegende: ‘Il y en a au reste beaucoup d'autres et c'est ce plus grand nombre qui le prononcent très passablement sans être sortis de leur pays. Cela est même commun aux femmes qui ont de l'éducation, l'étude de notre langue en fait partie pour elles, comme pour les hommes.’
Deze onderwijs- en opvoedingslof voor de Nederlandsche meisjes in 1778 brengt ons op eenmaal tot het oordeel, dat hij over de vrouw velt.
‘Les femmes ont, généralement un air triste, la peau fort blanche, des gorges très larges et de vilaines dents. Leur démarche a quelque chose de gêne et leur maintien fort gauche. Celles du commun ont aussi les bras très rouges, ce qu'on attribue à ce qu'elles ont continuellement les bras dans l'eau pour laver et recurer.
Les femmes du commun ont la gorge très découverte, portent les bonnets extrêmement bas, des paniers, et des chapeaux qui n'ont qu'une large corne par devant; elles ont souvent, une large mouche sur la tempe, elles sont au reste, très bien vêtues, et ont surtout du linge fort blanc. Celles d'un état plus relevé se coiffent, s'habillent à la française et portent même des plumes avec lesquelles, toutefois, elles ne sont pas bien accueillies des polissons comme nous l'avons éprouvé un jour que nous ramenions Mlle Thym à la ville.
Toutes les femmes saus distinction, portent caleçons sous leurs jupons: cet usage singulier peut être fondé sur plusieurs raisons 1o la grande humidité de l'air a pu la rendre nécessaire, lorsqu'elles sortent dans les rues. On dit même, que celles qui ont essayés de les quitter, ou les étrangères qui n'ont pas voulu s'y conformer s'ent sont trouvées incommodées; 2o dans leurs maisons, elles se tiennent ordinairement éloignées du feu, l'hiver, ayant seulement des chaufferettes dont on voit d'immenses tas aux portes des Eglises où elles en font même usage et qui leur gateraient certainement les cuises si elles n'avaient pas de caleçon, l'été, où elles ne mettent point de tourbe dedans, elles en ont cependant sous leurs pieds, parce qu'elles ne seraient pas assises commodément sans cela; 3o les marchepied des voitures sont très élevés, les escaliers fort raides. Ce qui a peut-être, rendu les caleçons des femmes nécessaires pour la décence.’
Sprekende over het ijsvermaak, waardoor het karakter van ons volk in een vleugelslag verandert, zegt Desjobet: ‘Les femmes du commun se mêlent aussi de patiner, mais les dames de la bonne Société vont sur des traineaux tirés par un cheval, ou poussés par des hommes montés sur des patins.’
Hij heeft het ook over ons hartstochtelijk rooken en het gebruik van thee. Hij bestrijdt de verdediging der mannen van die gewoonte, als zij wijzen op het vochtige klimaat, aldus: ‘D'abord on pourrait alléguer contres les fumeurs et leurs partisans que les femmes qui sont plus délicates que les hommes et d'un tempérament plus humide, se passent bien de fumer et que par conséquent, ils pourraient le faire aussi.’
Gaarne zou ik nog meer uit deze reisbeschrijving mededeelen, maar 't doel is slechts des schrijvers beschouwingen over de vrouw te doen kennen.
Men zou zoo zeggen, dat hij nog al intiem en van zeer nabij de vrouw heeft gadegeslagen.