M. Valkhoff:
Les amis de Spartacus
Evenals in Duitschland het ‘Volksverband für Filmkunst’ richtte men in Frankrijk verleden jaar de vereeniging ‘Spartacus’ op, die, hoewel haar Statuten neutraal zijn, bijna geheel in handen der kommunisten is. Onder inspiratie van Moussinac, verricht deze ‘arbeiders-filmliga’ uitstekend werk, door de Russiese films waarvan eigenlik alleen Ivan le Terrible - ofschoon deerlik gehavend - door de censuur kwam, aan het grote publiek te doen genieten. Men mag deze russofilie misschien eenzijdig vinden, de Franse avant-garde der verschillende Parijse Studio's is het niet minder, zodat tans in Parijs ‘Spartacus’ en ‘Studio 28’ elkaar aanvullen.
Enige maanden geleden was ik aangenaam verrast in een vreedzaam dorpje van de zuidelike banlieue de Moskou-film te zien, onze leden welbekend, en besloot toen ‘Spartacus’ ook buiten Frankrijks grenzen te doen kennen. Sindsdien is weer veel belangrijks gebeurd, zodat ik beter doe hier de voornaamste passages uit de brief van een Française, lid van ‘Spartacus’, te reproduceren, handelend over de laatste avonturen van onze zuster-organisatie:
‘On a commencé à penser à la production de films soviétiques, interdits par la censure, après le succès obtenu par le Cuirassé Potemkine, donné deux fois à portes fermées sous les auspices de l'ambassade russe - Racowsky régnant - et où tout le monde s'est précipité, si bien qu'il était bien porté et très juste d'y avoir été vu. Ses organisateurs ont acheté une salle à Grenelle (Cinéma de Grenelle) et l'on a constitué une société privée; pour en faire partie, il faut être présenté et acheter un carnet qui vous coûte cinq francs sur lequel on appose un timbre qui coûte également cinq francs pour chaque représentation à laquelle on assiste. Mais bientôt, après les premiers films représentés, le Potemkine, la Mère, Octobre, etc., etc., films qui comme exécution sont remarquables, et qui surtout vous débarbouillent les yeux de ces horribles productions américaines avec leurs stars et leurs embrassades sur les lèvres, les adhérents devinrent si nombreux qu'il fallut faire des séries, la salle de Grenelle, qui est très grande, ne suffisant par pour les nombreux adhérents dont beaucoup arrivaient en riches équipages. Alors “Spartacus” assuma, et loua périodiquement les salles dans les divers quartiers de Paris, puis en banlieue, et les uns après les autres tous les films y étaient passés. C'était trop pour le consortium américain que notre ministre de l'Instruction Publique protège de son ombre épaisse et joviale: chaque
billet de cent sous apporté aux films de “Spartacus” était pris dans la caisse du Consortium et c'est pourquoi on a pris le premier prétexte pour en arriver à une interdiction qui est contraire à la loi. Aussi les protestations ont été nombreuses et ce brave Herriot a rapporté en partie le décret: “Spartacus” va recommencer ses séances, mais tous les films n'y seront pas permis. C'est comme vous le voyez une côte mal taillée qui ne contente personne et donnera lieu à d'innombrables contestations.’
Volgen verder nog hier enkele artikelen uit de Statuten, waarvan Art. 2 interessant is door zijn ‘point de vue éducatif et social’, dat toont dat de vereniging uitgaat boven het zuiver esthetiese ‘l'art pour l'art’-standpunt van onze ‘Nederlandsche Filmliga’:
Art. 2. L'association a pour objet l'étude documentaire de films français et étrangers, afin d'en dégager les enseignements nécessaires tant du point de vue technique et artistique que du point de vue éducatif et social.
Art. 3. Pour poursuivre ces buts la société organisera, au moins une fois par mois des séances privées pour ses sociétaires, où seront projetés