Amsterdamsche Vreughde-stroom (Eerste deel)(1655)–Anoniem Amsterdamsche Vreughde-Stroom, De– Auteursrechtvrij Vorige Volgende Chanson Nouvelle. A Lentree de ce bois, Ou l’amour dort quelque fois, Le tient de Madelon, Vermeil comme une Rose, Ma fait voir en dormant, Encore tout autre chose, I’ ay creu derriere un buisson, Tenir cette Madelon, Ma main sur son teton, Lors que je luy propose, Que le Jeu de l’ amour, Est encore autre chose, [pagina 191] [p. 191] Dieux que de ravissement, Mais en songe seulement, Je pensois la baiser, Mais presque hors d’ Haleine, Je me suis eveille, Bien loingh de Madeleine, Je te jure Madelon, Que ce songhe estoit si bon, Je voudrois de bon Coeur, Que tu eusse le meme, Tu dirois en effet, Ton Amour est extreme. He que vous semble mon coeur, Amour n’ est il pas vainqueur, Il n’a point de repos, Sil n’a rendu contente, L’ ame qui scait aimer, Vne si belle Amante. Vorige Volgende