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(poststempel Hamburg, 6 Oct. 1897)
Ik schreef je einde vorige week.Ga naar voetnoot469
Van avond zend ik je mijn stukGa naar voetnoot470 voor 't Tweem. Tijdschr. ± 7 bladz. druk.
Huysmans is volgens de couranten te Schiedam geweest, ik vermoed dat hij er met eenige priesters was. - Van hemzelf heb ik niets gehoord. Hij schreef me wel voor ca. 3 weken dat hij n/Solesmes bij de Benedictijnen ging voor een paar weken, doch verder niets.
Heb je in de Mercure 't ridicule artikel over Holl. LitteratuurGa naar voetnoot471 gelezen? 'T staat in 't nummer v/1 Octr.
Vele groeten
t.t.
Arij Prins.
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voetnoot469
- Dit schrijven, een briefkaart, werd niet door Van Deyssel ontvangen.
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voetnoot470
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De heilige tocht, verschenen in het Tweemaandelijksch Tijdschrift, Jrg. IV, aflev. 3 (januari 1898), blz. 429-435.
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voetnoot471
- Het oktobernummer van de Mercure de France, Tome XXIV, no. 94, bevatte op blz. 309-314 een nieuwe kroniek Lettres néerlandaises, door Léon Paschal. Vastgesteld werd o.m.: ‘En effet une culture latine et grecque très fervente, une connaissance très avisée des lettres parisiennes font de l'âme hollandaise comme une soeur de l'âme française’ (blz. 310); ‘Cette influence française a agi sur un grand nombre d'écrivains hollandais; elle a donné à leurs livres une allure plus latine que germanique; elle a rendu leur style plus vif en brisant les longues phrases enchevêtrées; elle a aussi mêlé à la langue de quelques-uns de nombreux mots bâtards. Aussi, aux environs de 1880, on lit dans les revues hollandaises des traductions de Maupassant et de Coppée. M. Van Looy a traduit la Nuit de Mai de Musset; Louis Coupérus des fragments de la Tentation de Saint-Antoine. Presque en même temps, MM. Alberdingk Thijm et Van Deyssel s'avisaient de traduire Akëdysséril de Villiers de l'Isle-Adam; choix qui témoigne de quelle sortes d'oeuvres ces écrivains étaient épris.’ (blz. 312). Helemaal dol wordt 't op blz. 313-314: ‘Avant 1880 MM. Van Hamel, Van Hall, Busken Huet, Jan ten Brink, par leurs travaux, Mad. Bosboom-Toussaint et Virginie Loveling, toutes deux nouvellistes, Potgieter, prosateur méticuleux, Beets, peintre de moeurs, Jan van Beers, poète flamand, et les oeuvres toujours belles de Multatuli avaient préparé le mouvement jeune qui allait se dessiner. Puis vinrent après 1880: Van Eeden, l'auteur de Johannes Viator; Willem Kloos, un grand
poète qui s'affilie en partie à Baudelaire, il s'est occupé aussi de traduire Sophocle; Boeken, critique et poète, traduisait Apulée et adapta Floris et Blancheflor; Louis Coupérus, poète d'abord, puis romancier remarquable dont je compte, à propos de son dernier livre: - Métamorphose, longuement parler dans une lettre prochaine; Mad. Hélène Lapidoth-Swarth, écrivit d'abord en français et collabora à la Jeune Belgique, devint ensuite un des premiers poètes hollandais; - Van Deyssel et Netscher, critiques ayant des tendances naturalistes; - Eeman (sic), réaliste; - Verwey, critique et poète, - Henri Borel, habite l'Orient, fut l'élève de Van Eeden, s'inspire d'une sorte de néo-boudhisme; - Mlle Marie Boddaert, poète (...), Frans Erens, écrit de petites esquisses réalistes, appartient à la Société de Jésus et défend dans ses articles l'art pour l'Eglise’, enz. enz. Na lezing van dit artikel vroeg Van Deyssel terstond aan Vallette het adres van Léon Paschal. Dit luidde, onverwacht genoeg, Van Galenstraat 23, Den Haag. Op 14 oktober 1897 liet Paschal aan Van Deyssel het concept toekomen van een aan Alfred Vallette te richten brief, die deze in de Mercure de France zou mogen publiceren: ‘Mon cher Vallette, Je veux corriger le plus tôt possible des erreurs dans lesquelles je suis tombé, dans ma dernière correspondance. La plus grave est d'avoir attribué une traduction d'Akëdysséril à la fois à M. Alb. Thijm et à M. Van Deyssel, alors que l'un est le nom et l'autre le pseudonyme du même écrivain, rédacteur de la “Revue Bimestrielle Néerlandaise”. La confusion commise par moi est ridicule mais j'aime
mieux en faire l'aveu que de la laisser passer. L'autre erreur fait de M.F. Erens un membre de la Société de Jésus et un défenseur de l'Art pour l'Eglise, renseignements également inexacts. D'autrepart mon article doit être complété par les noms de Jan Hofker, Herman Gorter, Ary Prins, Frans Coenen, Auguste van Groeningen, André Jolles. Outre qu'il était un prosateur de mérite, Potgieter fut aussi un poète qui écrivit, sur Dante et sur Florence, des vers parmi les plus beaux que ces sujets aient inspirés.
J'avais l'intention de vous écrire prochainement à propos de M. Louis Couperus, et de son oeuvre que je suis occupé à lire; mais je sens qu' entre comprendre une langue et comprendre une littérature il y a un abîme qu'un esprit étranger ne peut franchir. Pour juger un mouvement il faut avoir assisté à ses débuts. Il faut même avoir approché des écrivains, avoir été le confident de leurs rêves pour avoir sur leurs livres les lumières désirables. Lisant les sonnets de Willem Kloos, je l'ai affilié à Baudelaire, poète français à moi familier, alors que l'oeuvre de Willem Kloos est trop vaste et trop diverse pour permettre l'appréciation que j'en ai donnée brièvement. C'est pourquoi, mon cher Vallette, laissez-moi renoncer à une tâche imprudemment assumée. Pour que les lettres Néerlandaises soient exposées dans le Mercure d'une façon parfaite comme vous m'en exposiez autrefois le souhait et comme je veux moi-même qu'elles le soient, il faut qu'un hollandais le fasse. Comme français, imbu de la littérature française, je tomberais fatalement dans des malentendus. Je me suis adressé à de jeunes écrivains, intimement mêlés au mouvement littéraire, et j'espère obtenir l'assentiment de l'un d'eux. Au jour où je date cette lettre, ma démarche n'a pas encore abouti; mais je compte bien que, pour le numéro de Décembre, la rubrique pourra être mise en de bonnes mains. Agréez mes sentiments les meilleurs’. Van Deyssel echter moet een andere, en voor Paschal plezieriger, oplossing hebben voorgesteld, want op 19 oktober liet Paschal aan Van Deyssel weten: ‘Je tiens à vous remercier dès le moment de
la générosité que vous avez eue en acceptant mes propositions. Si quelqu'un parlait jamais de la littérature française comme il m'est arrivé de parler de la littérature hollandaise, je n'aurais pour lui que mépris; aussi je me méprise, et je me reproche amèrement ma légèreté. Ce sentiment que j'éprouve à mon propre égard est assurément le plus pénible que je puisse ressentir.’ Op 22 oktober 1897 schreef Alfred Vallette nog aan Van Deyssel: ‘Je vous remercie de la solution que vous donnez à l'affaire, et qui est en effet, je pense, la meilleure. - Je vous remercie également de vouloir bien m'assurer que vous songerez à nous trouver un correspondant très au courant des lettres néerlandaises.’
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