Ik ben druk bezig aan een nieuw stuk,Ga naar voetnoot369 misschien heb ik een gedeelte daarvan in de Augustus aflevering van de N.G.
De twee stukjes van DelangGa naar voetnoot370 in het laatste nummer bevielen mij niet zoo goed als zijn vroeger werk. Het antwoord aan U van vdGoesGa naar voetnoot371 moet ik nog lezen.
Goed vind ik BruggeGa naar voetnoot372 van Van Looy.
2/5'92.
Vele groeten,
t.t.
Arij Prins.
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voetnoot366
- Sedert begin 1892 verbleef Van Deyssel in Hotel Prinsenhof te Cleve om zich daar, met succes, aan de Kneippkuur te onderwerpen. Zie Gedenkschriften (ed. Prick), blz. 389-397.
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voetnoot367
- Het februarinummer van de Mercure de France, jrg. 1892, had op blz. 179, in de rubriek ‘Journaux et Revues’ melding gemaakt van de inhoud van het decembernummer van De Nieuwe Gids: ‘Ch.-M. Van Deventer, Alkabiades, of over den Eerbied; Delang, Eene Bloem, poème en prose descriptif de l'étrange et colossale fleur, Victoria regia; Frans Erens, Gedichten in proza; A. Diepenbrock, Melodie en gedachte of de muziek in de intellektueele evolutie, avec cette épigraphe empruntée à Stéphane Mallarmé: “Je crois que la Poésie est faite pour le faste et les pompes suprêmes d'une société constituée où aurait sa place la gloire dont les gens semblent avoir perdu la notion”; M. Van Eeden étudie les théories de Lombroso sur le spiritisme et le dernier livre du célèbre critique hollandais M. Jan Ten Brink, sur les vieilles et les nouvelles écoles littéraires, De Oude Garde en de Jongste School (Amsterdam, Jan Leendertz en Zoon)’. In het aprilnummer opende dezelfde rubriek, op blz. 366, met de mededeling: ‘Nous avons reçu d'Amsterdam et de Leyde deux lettres nous signalant une erreur dans la note publiée en février (no. 26, p. 179) sur le Nieuwe Gids; c'est M.L. van Deyssel et non M. van Eeden, qui a parlé du livre récent de M. Jan Ten Brink: De Oude Garde en de jongste School. Les auteurs de ces lettres, de plus, ne montrent pas beaucoup de sympathie pour le critique hollandais: l'un l'appelle’ le professeur Ten Brink, un critique très connu, peu sérieux et pas du tout célèbre’, et l'autre
déclare qu'il n'est célèbre qu'à ses propres yeux.’ -
Alfred Vallette, redacteur van de Mercure de France, zag zich in het meinummer (blz. 80-82) nogmaals genoodzaakt de tijdschrif tenrubriek te laten aanvangen over deze kwestie: ‘A la suite de notre dernier écho (tome IV, p. 366), sur le Nieuwe Gids, M. Jan Ten Brink nous a déclaré que les deux lettres reçues d'Amsterdam et de Leyde, et dont nous citions de courtes passages, nous venaient de personnes qui lui ont “voué une haine littéraire des plus déloyales”, qu'on l'avait déjà “insulté” dans le Nieuwe Gids, et qu'on ne nous avait écrit que pour “l'insulter encore.” Nous avons certifié à M. Jan Ten Brink que les lettres en question, et même une troisième reçue d'Utrecht depuis la publication de notre dernier numéro, gardaient le ton de la plus parfaite bienséance; que nous y avions vu, certes, une divergence d'opinions littéraires entre lui et le Nieuwe Gids, mais nulle “haine” et pas la moindre parole “insultante”; que d'ailleurs - abstraction faite de ses propres sympathies littéraires - le Mercure de France insérerait impartialement soit une réponse à l'écho du mois dernier, soit partie de la lettre qu'il venait de recevoir. M. Jan Ten Brink nous prie de citer des passages de ses deux lettres. Les voici presque in-extenso, et nous espérons que leur publication mettra fin à l'incident:
Leide, 3 avril 1892
A Monsieur Alfred Vallette,
Rédacteur en chef du Mercure de France.
Monsieur!
Permettez-moi de vous communiquer un petit renseignement, à propos de ce qu'on a écrit sous le titre: Nieuwe Gids (Journaux et Revues), p. 366 de votre livraison d'avril 1892.
L'auteur dit qu'il a reçu deux lettres d'Amsterdam en de Leide pour signaler une erreur, quand on m'a nommé “critique célèbre” dans votre livraison de février. Ces deux lettres vous viennent de personnes qui m'ont voué une haine littéraire des plus déloyales. Cette revue: Nieuwe Gids, ne produit rien d'original. Tout est de l'imitation de votre M. Stéphane Mallarmé et de l'école symboliste.
S'il s'y trouve quelque chose de foncièrement hollandais, ce sont bien des insultes grossières à l'adresse de ces écrivains qui ne donnent pas dans le mallarmisme du Nieuwe Gids. Comme je n'admire pas beaucoup le symbolisme et le galimatias littéraire et comme je l'ai dit souvent, on m'a insulté dans le Nieuwe Gids (...)
Quand votre Mercure me reconnaît “critique célèbre”, ces messieurs vous ont écrit deux lettres pour m'insulter encore (...)
Vous-même, vous êtes hors de cette question; je vous prie de ne pas croire tout à fait ce que ces messieurs vous écrivent (...)
Vous n'avez entendu que deux voix très partiales: vous aimerez voir aussi le revers de la médaille.
Croyez, Monsieur, etc.
Jan Ten Brink.
Leide, le 10 avril 92
Monsieur!
Mille fois merci! Votre lettre me prouve qu'en France, du moins, on n'a pas perdu la belle tradition de la courtoisie. Je vous prie de citer tout ce que vous trouverez d'utile dans mes deux lettres.
S'il n'existait qu'une certaine divergence d'idées entre le Nieuwe Gids et moi, l'affaire se trouverait dans les termes les plus corrects. Mais ces jeunes gens se distinguent par un esprit-de-corps fort remarquable, et ont la bouche pleine d'offenses pour ceux qui oseraient leur faire la moindre critique. (...) ils prétendent avoir inventé la littérature néerlandaise. J'ai écrit souvent contre cette tendance des esprits; jamais je n'ai oublié les lois de la courtoisie.
Vous n'avez pas trouvé de haine littéraire dans les lettres de Leide et d'Amsterdam. C'est qu'il voulaient me nuire en France auprès de votre publication, et ils avaient besoin de prendre les allures de la correction. Dire que je ne suis “pas sérieux”, “célèbre que dans mes propres yeux”, est certainement pour moi une offense.
Vous connaissez M. Byvanck, qui ne m'aime pas du tout; mais il est parfaitement honnête. Demandez-lui si c'est la vérité ce que disent vos lettres de Hollande. Il connait toute ma carrière scientifique et littéraire! Je ne doute pas une minute qu'il me jugera tout autrement, quoiqu'il ait à se plaindre de moi au sujet de son dernier livre.
En vous remerciant, etc.
Jan Ten Brink.
Van Deyssels bespreking van Ten Brinks De Oude Garde en de Jongste School, bespreking die zich overigens uitsluitend had bezig gehouden met de typografie van het titelblad, werd voor de eerste maal herdrukt in de Tweede bundel Verzamelde Opstellen, A'dam, 1897, blz. 189-192.
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voetnoot368
- W.G.C. Byvanck (1848-1925) had in 1892 bij S.C. van Doesburgh te Leiden laten verschijnen Parijs 1891. Notities. Van Deyssel hoonde dit boek weg in De Nieuwe Gids, Zevende jrg. II, aflev. 4 (april 1892), blz. 76-83; voor de eerste maal herdrukt in Prozastukken, A'dam, 1895, blz. 315-323, onder de titel De Heer Byvanck over Parijs. In 1892 verscheen Van Byvancks boek een door hemzelf, met medewerking van Marcel Schwob, gemaakte Franse vertaling: Un Hollandais à Paris en 1891. Sensations de Littérature et d'Art. Préface d'Anatole France. Paris, 1892. In de Mercure de France van april 1892, werd op blz. 289-294 een fragment uit dit boek, handelend over Jean Moréas, gepubliceerd. Toen Alfred Vallette in de Mercure de France van juni 1892, blz. 162-166, Un Hollandais à Paris besprak, plaatste hij ook enkele critische kanttekeningen bij Van Deyssels bespreking.
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voetnoot369
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Dragamosus. Het eerste en tweede hoofdstuk verscheen in De Nieuwe Gids, Zevende jrg. II, aflev. 5 (juni 1892), blz. 227-233; het derde en vierde hoofdstuk in idem, aflev. 6 (augustus 1892), blz. 420-427.
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voetnoot370
- In De Nieuwe Gids, Zevende jrg. II, aflev. 4 (april 1892), blz. 220-226, publiceerde Delang Koediefje en Ziele-bewegen.
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voetnoot371
- Aan Van Deyssels in noot 342 genoemde opstel over Socialisme was voorafgegaan zijn (in De Nieuwe Gids, Zesde jrg. I, aflev. 2 (december 1890), blz. 249-262 gepubliceerde) opstel Gedachte, kunst, socialisme, enz. / Aan den Heer F. van der Goes. Van der Goes reageerde hierop met Studies in socialisme in De Nieuwe Gids, Zesde jrg. I, aflev. 3 (februari 1891), blz. 369-404. Op het in noot 342 genoemde opstel van Van Deyssel reageerde Van der Goes met het opstel Socialistische aesthetiek in De Nieuwe Gids, Zevende jrg. II, aflev. 4 (april 1892), blz. 113-140.
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voetnoot372
- Verschenen in De Nieuwe Gids, Zevende jrg. II, aflev. 4 (april 1892), blz. 18-22.
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