Haerlemsche Somer-Bloempjes tweede offer, Aen de Vreught-lievende Nymphjes
(1646)–Guillaume Abrahams Ooijevaer– AuteursrechtvrijStem: Ierusalem ghy schoone, &c.Si tost que vostre oeil m'eut blessé,
Tant de feu s'esprist en mon ame,
Que je n'eusse jamais pensé,
Pouvoir ardre en plus chaude flame.
2 Mais croissans en vous chacun jour,
Les graces qui vous font si belle,
J'qy veu croistre aussy mon amour,
Tousjours de quelque ardeur nouvelle.
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3 Elle est ore á l'extremité,
Plus grande on ne la sçauroit rendre,
Ne croissez donc plus en beauté,
Ou vois me mettrez tout en cendre.
Ayez compassion. |
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