I.
L'unite de la matière.
T. X, p. 386 (lettre à Leibniz du 12 janvier 1693): Il me semble ... qu'il est plus aisè d'accorder la duretè parfaite et infinie pour tous, que cette varietè de forces pour differents corps. Car il est plus difficile de concevoir les raisons de ces differentes duretez, que d'en admettre une seule infinie. Ce seroit imaginer plusieurs especes de matiere premiere au lieu que je n'en ay besoin que d'une.