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Additions et corrections.
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Au lieu de |
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3 note 2 |
Au moment de l'apparition de ce Tome (décembre 1934) la publication des Journaux de Voyage de Huygens par Mons. H.L. Brug mans n'a pas encore eu lieu. Son travail (thèse de doctorat) paraîtra à Paris au commencement de 1935. Nous en donnons le titre complet à la p. 686. |
4 note 5 |
Le travail (thèse de doctorat) de Mons. Harcourt Brown, intitulé ‘Scientific Organizations in Seventeenth Century France (1620-1680)’ (Baltimore, the Williams & Wilkins C.y) a paru en mars 1934. Le Ch. V (‘The Montmor Academy and England’) contient plusieurs passages inédits du Journal de Voyage de 1660-1661 de Huygens. |
7 note 3 |
D'après van Swinden (ouvrage cité à la p. 692) le ‘membre de la famille’ est A.J. Royer (comparez sur lui la p. 519). |
12 note 3 |
note 3 de la p. 14 |
note 4 de la p. 122 |
17 note 2 |
Voir sur la réintroduction de la fusée dans les horloges marines la p. 513, ainsi que les notes 8 et 11 de la p. 533. À la p. 542 (l. 6) nous avons traduit ‘dubbele ontsluijtingh’ par ‘double déclenchement’. |
17 note 5 |
Voir sur les horloges marines de Sully la p. 520 qui suit. |
17 note 6 |
Le fil de soie rouge est mentionné dans la première note de la p. 544. |
19 ligne 7 et suiv. |
Voir aussi sur l'horloge astronomique de Leiden, la note 6 de la p. 601 et le premier alinéa de la p. 602. |
21 note 2 |
Consultez encore sur le rapport de de la Voye les p. 633-635. |
30 note 2 |
Adrianus, ou Hadrianus, van der Walle fut inscrit comme étudiant en droit à Leiden en 1641. ‘Mr. Adriaan van der Wal’ fut enterré à Delft dans la vieille église réformée le 25 mars 1684. Sa bibliothèque, que Huygens, au début de son Journal de Voyage de 1660-1661, dit avoir visitée à Delft, fut vendue publiquement à Leiden le 23 octobre 1684 et jours suivants chez P. vander Meersche. Cette vente est mentionnée dans notre T. VIII aux p. 543, 549 et 552; la p. 604 du T. VIII parle toutefois par erreur d'Antonius van der Wall. Le catalogue de la vente appelle Adr. v.d. Walle ‘juris utriusque doctor’. La bibliothèque contenait 467 libros juridicos, 950 libros |
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Au lieu de |
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mathematicos, cosmographicos, geographicos et topographicos, 689 libros medicos, 1284 libros theologicos et 3848 libros miscellaneos. Voir aussi sur v.d. Walle la p. 591 du T. XIII. |
32 note 9 |
Huygens parle du modèle construit pour van Ceulen à la p. 532, § 4. |
34 note 2 |
quelque |
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quelques |
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41 ligne 7 |
nommée |
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nommé |
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41 note 8 |
Voir encore sur Apollonios, Golius et Huygens la note 2 de la p. 393. |
59-66 |
Mons. A.C. de Kock a publié en novembre et décembre 1933 dans la revue ‘Hemel en Dampkring’ un article intitulé ‘De uitvinding van het slingeruurwerk’, dans lequel il traite du livre de Mons. Drummond Robertson (‘The Evolution of Clockwork’) de novembre 1931 et de la brochure (partie de notre T. XVII) de janvier 1932 ‘L'horloge à pendule de 1656 à 1666, rédigé par J.A. Vollgraff’. Ceci nous a amenés à notre tour à écrire deux articles, publiés en janvier et février 1934 dans la même revue, intitulés: ‘Heeft Vincenzio Galilei op zijn sterfdag zijne uurwerken vernield?’ et ‘Heeft Prins Leopold gezegd dat in 1656 te Florence een slingeruurwerk is geconstrueerd?’ Comme l'Avertissement de l'‘Horologium oscillatorium’ était déjà imprimé en ce temps, nous en avons cité dans ces articles quelques parties, savoir la note 2 de la p. 62, le deuxième alinéa de la p. 64 et le troisième alinéa de la p. 65. M. Drummond Robertson nous a fait savoir ensuite qu'il reconnaissait que sa traduction, reproduite dans l'article de M. de Kock, d'un passage de la lettre de Viviani, traduction citée par nous dans le premier alinéa de la note 2 de la p. 62, est erronée.
Dans l'article de février, nous avons remarqué que d'après les ‘Novelle Fiorentine’ de 1774, citées dans la note 1 de la p. 470 de notre T. III, il y avait à Florence un nommé Marco Treffler, horloger du grand-duc Ferdinand II, mais qu'il nous semble probable qu'il y a ici une erreur dans le prénom, puisque les ‘Novelle Fiorentine’ disent emprunter cette nouvelle à la lettre non encore publiée de Viviani qui ne parle que de Philippe Treffler, horloger du grand-duc Léopold. Van Swinden dit que Treffler s'appelait Johannes Philippus, mais que d'autres l'appellent aussi Johannes Marcus ou simplement Marcus. |
66 |
À propos des horloges à pendule conique, nous pouvons encore observer que Leibniz ne connaissait apparemment pas d'horloges publiques de ce genre: dans ses Remarques de ± 1715 il écrit: ‘Il y a des Horloges à Pendule d'une espece toute particuliere, où le Poids vibrant ne va pas en allant et retournant, mais toujours d'un même |
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Au lieu de |
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côté. Ces Horloges ont cela de particulier, qu'elles vont sans bruit, et ont été recherchées quelquesfois par ceux, qui manquent de sommeil et veulent avoir des Horloges dans leurs Chambres qui ne les empêchent pas de dormir. Mr. Huguens en a fait un discours, qui n'a pas été imprimé [?], où au lieu de Cycloide il a employé une espece de Solide parabolique pour en rendre les vibrations égales’. |
84 ligne 2 |
par la grave de Dieu de Roy |
par la grace de Dieu Roy |
116 2ième alinéa |
Voir sur deux autres voyages de de la Voye avec les horloges, non mentionnés ici, la p. 633. |
218 ligne 11 |
en autre |
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en outre |
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364 ligne 21 |
la friction |
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le frottement |
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364 ligne 22 |
petite qu'elle |
petit qu'il |
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371 note 4 |
Les figures de Huygens (dernière ligne de la note) sont celles des ‘Instruments nautiques’ des p. 627-629. |
378 note 2 ligne 1 |
pas |
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par |
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384 note 5 ligne 16 |
l'à |
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l'a |
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384 note 5 ligne 18 |
infèrieure |
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inférieure |
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386 ligne 4 d'en bas |
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400 notes ligne 11 |
la note 000 de la p. 000 |
la note 4 de la p. 484 |
409 ligne 9 |
rectifianda |
|
rectificanda |
|
454 ligne 1 |
Cum |
|
Cur |
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455 ligne 6 |
affaber |
|
affabre |
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470 ligne 4 |
queston |
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question |
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471 ligne 9 d'en bas |
désigne |
|
désigne |
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474 ligne 12 |
Rien indique |
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Rien n'indique |
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482 ligne 2 d'en bas |
précédent |
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précèdent |
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486 notes ligne 6 |
Dans ses Remarques de ± 1715 Leibniz écrit, après avoir dit que Huygens dans son ouvrage de 1673 ‘rend raison de la Cycloide’: ‘Mais il y auroit encore quelque chose à dire de la Nature des Vibrations des Ressorts, dont l'égalité est vérifiée par celle des Cordes touchées, qui rendent toujours le même son, quand elles sont également tendues’. Il ignorait sans doute que Huygens s'était déjà occupé de ce sujet. |
497 ligne 9 |
fi |
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si |
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505 note 6 |
Après 1675 Huygens ne mentionne plus jamais Thuret en sa qualité d'horloger (si ce n'est dans les ‘Anecdota’, p. 668), mais il parle en 1678 (T. XIII, p. 704) de l'eau de poivre donnée par Thuret à Römer. |
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Au lieu de |
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513 ligne 7 d'en bas |
des l'horloges |
des horloges |
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515 note 6 |
La dernière page du Manuscrit 15 porte une note, écrite au crayon, où Huygens parle de Willem van der Dussen à Dordrecht.
Nous saisissons cette occasion pour mentionner aussi les horlogers Meybosch et van Laer qui prirent part à l'expédition de 1690-1692 (voir sur eux les T. IX et X). |
520 ligne 13 |
Le ‘British Museum’ à Londres possède un exemplaire de l'ouvrage de 1711 de Sully. Il est intitulé: ‘Abrégé de quelques Regles pour faire un bon usage des Montres, avec des Réflexions utiles sur la maniere de les bien raccommoder, & sur les abus qui s'y commettent. par Henry Sully, Horloger de Londres à Leide. Metior et Emendo [vignette]. Imprimé pour l'Auteur, à qui l'on peut s'addresser. A LEIDE 1711’. Sully ne visita donc pas seulement la Hollande; il s'y établit. Une fille de lui fut baptifée à la Pieterskerk le 30 novembre 1710; la mère étant décédée, deux tuteurs furent nommés le 18 septembre 1711 (archives communales de Leiden). |
522-523 note 2 |
Voir aussi sur des horloges à double balancier la p. 6 du T. XVII. |
525 ligne 3 |
troisième |
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deuxième |
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537 note 1 |
de la p. 556 |
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la p. 556 |
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547 ligne 3 |
pendule5). |
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pendule5)’. |
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547 ligne 5 |
s'il est ici vraiment original |
si cette idée n'est venue qu'à lui |
558 ligne 19 |
qnod |
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quod |
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577 ligne 14 d'en bas |
queston |
|
question |
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593 ligne 1 d'en bas |
Nous publions ici deux petites figures de Huygens qui accompagnent la Fig. 94 dans le Manuscrit I, quoique nous ignorions absolument si elles ont quelque chose à faire avec le ‘conusje’ [petit cône] et le ‘langwerp’ [pièce oblongue].
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600 ligne 3 |
(1655-1710) |
(1644-1710) |
607 ligne 3 d'en bas |
par |
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per |
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613 note 5 ligne 6 |
AB/MD |
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AB/M∆ |
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616 notes ligne 4 |
Fig. 11 |
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Fig. 111 |
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616 note 1 ligne 2 |
p. 516 |
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p. 615 |
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634 note 1 |
Dans le ‘Scheepvaartmuseum’ à Amsterdam il y a un grand globe |
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Au lieu de |
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de W.J. Blaeu, oeuvre posthume qu'on juge dater de 1650 environ. La différence des longitudes de Toulon et de Candie y est de 24o ou un peu plus, ce qui s'accorde assez bien avec les 24o30′ de la p. 211 du Manuscrit F. Huygens était en possession d'un globe de Blaeu ‘de la nouvelle impression’ probablement depuis 1671 (T. VIII, p. 82). |
634 note 2 |
Le ‘Scheepvaartmuseum’ possède une fort belle carte de F. de Wit, datée 1672, et intitulée ‘Nova et accurata totius Europae Tabula’. La différence Toulon-Candie y est de 22o20′. C'est sans doute la carte consultée par Huygens qui donne 22o30′ pour la dite différence. On peut consulter sur F. de Wit la p. 67 du T. VI. |
635 note 7 |
à 4o36′ |
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à 4o56′ |
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642 ligne 23 |
où |
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ou |
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642 ligne 24 |
Quoiqu'il |
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Quoi qu'il |
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658 lignes 3-5 et 12 |
En 1670 Huygens écrivait à J. de Witt (T. VII, p. 52): ‘Nec magis ex motibus supra Terra contingentibus colligere licet utrum immobilis sit an moveatur diurno annuoque motu, etc.’ |
666 § 3 |
Ce paragraphe, ainsi que la remarque de Huygens qui constitue notre note 12, ont déjà été publiés par J.H. van Swinden - quelques mots ont été mal lus - dans son article de 1817 (ou plutôt de 1814): ‘Verhandeling over Huygens als uitvinder der slingeruurwerken’ (voir la p. 13 du T. XVII). |
666 ligne 5 d'en bas |
D'après van Swinden, qui a apparemment raison, le ‘Germanus’ est J.J. Becher ‘qui ciniflo vocatur quoniam Chemiae operam dabat’. Nous avons mentionné son livre aux p. 6-7 du T. XVII.
Huygens avait connu Becher personnellement vers le temps où parut l'‘Horologium’. Il lui en avait fait parvenir un exemplaire (T. II, p. 209). Becher n'était pas seulement chimiste, mais aussi économiste distingué. Voir p.e. A. Hulshof ‘Een Duitsch econoom in en over ons land omstreeks 1670’ (dans la revue ‘Onze Eeuw’, Harlem, Bohn, 1910) et F.M. Jaeger ‘Over Johan Joachim Becher en zijne relaties met de Nederlanden’ (dans le ‘Economisch-historisch Jaarboek’, la Haye, Nijhoff, 1919). |
667 note 18 |
précédent |
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précèdent |
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681 |
Mercator (Nicolaus) |
Mercator (Gerhard) |
684 |
Willem III, Stadhouder, 523 522 |
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