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Additions et corrections.
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Au lieu de |
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10 ligne 11 |
(p. 13) |
(p. 14) |
21 note 3 |
Le Carolusgulden en or, datant de 1520, et le Carolusgulden en argent qui fut frappé de 1543 à 1558, avaient primitivement l'un et l'autre la valeur de 20 stuivers. En 1579 la valeur officielle du Carolusgulden d'argent fut sixée à 28 stuivers ou 1 gulden 8 stuivers, en 1606 à 1 gulden 15 stuivers ou f 1,75. Vers 1620 il cessa de circuler, de sorte qu'en 1657 le ‘Carolusgulden’ aussi bien que le ‘gulden’ n'étaient que des monnaies de compte. En 1680 on frappa un gulden d'argent de 20 stuivers, dont le poids fut notablement inférieur à celui du Carolusgulden d'argent, le rapport étant à peu près 19:10. Comme la valeur du ‘Carolusgulden’ augmenta probablement encore un peu après 1606 par rapport au ‘gulden’, on peut admettre une valeur d'environ f 1,80 en 1657. Voir l'article ‘De Gulden 1680-1930, etc.’ de A.W. Michielsen dans le ‘Jaarboek van het Kon. Ned. Gen. v. Munt- en Penningkunde’, Amsterdam, J. Müller, 1930. |
31 note 10 ligne 6 |
le pendule portait un poids |
le pendule pesait un livre, tandis que |
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de 4 ou 4½ livres. |
le poids moteur était de 4 ou 4½ livres. |
34 note 1 alinéa 1 |
D'après Mons. B.F. Veenhoff, horloger de la ville de Groningue, son père qui occupait le même poste se servait de l'expression ‘evenaer’ dans le sens de foliot. Il nous paraît possible que dans l'expression ‘evenaer met sijn levent werck’ ce soient les mots ‘levent werck’ qui désignent le pendule, tandis que le mot ‘evenaer’ y désigne peut-être la pièce horizontale (‘gaffel’) qui entretient le mouvement du pendule, pièce dont nous avons dit dans la note 5 de la p. 35 que dans le cas de l'horloge de Schéveningue A. Kaiser la considérait, d'après J. Servaas van Rooyen, comme la moitié de l'ancien foliot. |
34 note 1 alinéa 2 |
Nous avons consulté les archives communales de Hattem pour vérifier l'assertion que Jurriaen Sprakel transforma en 1679 l'horloge de l'église de cet endroit en une horloge à pendule. L'horloger qui examina l'horloge en 1678 (dépense extraordinaire d'après la ‘reecke- |
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ninge van kerckmeester H. Coopsen’) est appelé ‘de soon van Spraakel’. Dans les notes de 1679 à 1680 il est parlé de Jurrien Sprakel et dans celles de 1680-1682 de Jan Sprakel; il y est question de l'entretien de l'horloge (dépense ordinaire). L'horloge est tantôt désignée par le mot ‘uerwerck’ ou ‘uijrwerck’, tant avant qu'après 1679, tantôt par le mot ‘slingerwerck’; nous n'avons pas rencontré ce dernier terme avant 1678 où il est dit: ‘De verteeringe door de Heeren van de magistraat schict over het accoort het slingerwerck van de Kercktooren beloopt 5 - 6 -’; quel que soit le sens exact de cette phrase, il apparaît en tout cas qu'en 1678 les magistrats s'occupèrent d'un certain projet relatif à l'‘horloge à pendule’. En 1679- 1680 il est dit: ‘Betaalt tot het Slingerwerck aen de Kerck tooren sal mijn Rekeninge blijcken met de verteeringe tot mijnen Huyse geschiedt f 78 - 15 - 0’ et ‘Ontfangst extraordinaris. Ontfangen van de Kerck tooren van het slingerwerck volgens rekeninge van Eenige Heeren 74 - 16 -.’ Il paraît donc en effet probable qu'en 1679 l'horloge de l'église ait été transformée en une horloge à pendule.
Quant au Jurrien Sprakel dont il est ici question, ce n'est certainement pas l'horloger qui en 1652 construisit l'horloge de la cathédrale d'Arnhem. En effet, suivant J. Gimberg (‘De klokkengieters Hemony en de uurwerkmaker Juriaan Sprakel te Zutphen’, Oud-Holland X, 1892) ce dernier mourut peu avant mars 1669. |
38 fin de la note 5 de la p. 37 |
Le livre de Mons. J. Drummond Robertson, intitulé ‘The Evolution of Clockwork with a special Section on the Clocks of Japan’ a paru en novembre 1931 chez Cassell & Co (London, Toronto, Melbourne & Sydney). Les Chap. VI (‘The Romance of the Pendulum’), VII (‘The Pendulum Clock’) et IX (‘Huygens and the Determination of Longitude’) contiennent plusieurs figures et quelques renseignements empruntés à la première partie du présent Tome (comparez la note 1 de la p. 180). On trouvera dans le livre de Mons. Dr. Robertson une ample bibliographie, où la dite partie est mentionnée sous le titre |
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Vollgraff. Dr. J.A. |
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Christian Huygens: L'Horloge à pendule de 1656 à 1666. Leiden, 1931, (Extrait des ‘Oeuvres Complètes de Chr. Huygens’, vol. XVII, in preparation). |
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Puisque l'auteur (p. VIII) parle obligeamment de la correspondance |
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Au lieu de |
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que nous avons eue avec lui, nous aurions mauvaise grâce de ne pas le remercier ici à notre tour pour les importants renseignements qu'il a eu l'amabilité de nous fournir dans ses lettres. |
50 dernière ligne |
3) |
4) |
62 ligne 6 |
alles |
elles |
77 note 1 ligne 5 |
3 mai |
26 avril |
102 ligne 13 |
Bonnettio |
Brunettio |
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En disant le 28 juillet 1660: ‘J'ay veu Monsieur Brunetti etc.’ (T. III, p. 99) Huygens ne parle donc pas de son entrevue de 1659 avec l'abbé Brunetti (T. II, p. 71), comme l'admet la note 2 de la p. 99 nommée, mais d'un entretien qui eut lieu à la Haye en 1660. |
104 Fig. 24 (deuxième figure) |
Mons. O.F. Muller von Czernicki de Bloemendaal qui s'occupe avec succès de la reconstruction des horloges de Huygens, nous fait remarquer que la roue de rencontre, malgré l'inscription ‘30 dentes’ (comparez la p. 75), semble n'avoir que 15 dents; la verge à palettes s'applique d'ailleurs bien mieux à une roue lorsque le nombre des dents est impair. |
138 note 1 |
Consultez sur la p. 90 du Manuscrit C la note 7 de la p. 284. |
148 ligne 3 |
ED |
BD |
159 note 5 alinéa 2 |
Nous devons quelques renseignements à Mons. H.L. Brugmans qui prépare une thèse sur Chr. Huygens à Paris, e.a. celui sur le séjour de Claude Pascal à Paris en 1670. |
180 ligne 5, 11 et 13 |
cliquet d'echappement |
came (en anglais: cam) ou levée |
180 note 1 |
Un des time-keepers restaurés de Harrison ne se trouve plus à Greenwich mais dans le Science Museum de Londres. |
243 note 6 ligne 1 |
f. 116 |
f. 116 des Chartae mechanicae |
247 ligne 3 |
Voir cependant la Prop. XXVI de la Pars Quarta de l'‘Horologium oscillatorium’, où Huygens parle d'‘accuratissima experimenta nostra’ faits avec des appareils du genre ici considéré. |
247 ligne 6 d'en bas |
tous les autres |
beaucoup d'autres |
254 note 1 ligne 9 |
1665 |
1655 |
255 ligne 2 d'en bas |
puique |
puisque |
267 note 9 ligne 3 |
1665 |
1664 |
293 note 6 ligne 3 |
Beekman |
Beeckman |
295 note 2 ligne 1 |
Manuscript |
Manuscrit |
301-304 |
Dr. G. Tierie écrit à la p. 48 de sa dissertation (thèse) sur Cornelis Drebbel (H.J. Paris, Amsterdam, 1932): ‘It is very probable that Constantyn Huygens also learned the art of glass grinding with a machine from Drebbel in 1622, while he was in close contact with the latter, and then later taught it [cette expression nous semble trop |
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Au lieu de |
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forte] to his son Christiaan, the celebrated natural philosopher. As we saw in chapter IV, Hooke was well acquainted with Drebbel's daughter and her husband. It is probable, therefore, that he also gained his knowledge of this machine in the same way’. Voir sur les relations de Constantijn père avec Drebbel le passage du T. XIII, cité dans la note 7 de la p. 249 du présent Tome. |
327 note 2 ligne 2 |
deuyième |
deuxième |
331 ligne 8 d'en bas |
BE |
DE |
331 note 4 ligne 5 |
un description |
une description |
355 note 6 ligne 1 |
ainsi qui |
ainsi que |
355 note 6 ligne 6 |
La p. 801 de la ‘Ars magna Lucis et Umbrae’ de 1646 d'Ath. Kircher (ouvrage connu à Constantyn Huygens père dès 1646 et dont Christiaan parle en 1655; voir les p. 357 du T. I et 551 du T. II) fait voir que l'expression ‘fata morgana’ était déjà employée en ce temps: I. Angelucci écrit de Reggio en 1643: ‘Questa è quella Fata Morgana che ventisei anni ho stimato inuerisimile, & hora ho visto vera etc.’ Kircher explique ce phénomène (p. 802) par une réflexion des rayons sur de petits corps solides (‘specularis materia arenosa’) planant dans l'air. Il parle de quelques observations anciennes, e.a. de ‘equitum pugnantum simulacra’. Descartes dans le Discours VII des ‘Meteores’ de 1637 donne une explication bien différente des combats qui auraient été vus dans les nues: il parle de ‘plusieurs nues, assés petites pour estre prises [l'imagination des spectateurs superstitieux aidant] pour autant de soldats, etc.’ |
357 note 4 ligne 4 |
(éd. Worp) |
(éd. Worp, I, p. 371) |
357 note 4 ligne 7 et suiv. |
Les éditeurs A.N. Disney, C.F. Hill et W.E. Watson Baker du livre ‘Origin and Development of the Microscope’, London, 1928, disent à la p. 74 que Huygens, écrivant en 1653, connaissait le manuscrit de Snellius et dit e.a. ‘that Snell had been very successful in applying his discovery to the theory of the rainbow and of lenses’. Ceci est une erreur due à la traduction erronée du bout de phrase: ‘quâ in explicanda Iride & vitrorum figuris investigandis felicissimè est usus’ (T. XIII, p. 9): Huygens n'y parle pas de Snellius, mais de Descartes. Ce n'est d'ailleurs pas en 1653 que Huygens écrivit ce passage: ce n'est qu'au moins 9 ou 10 ans plus tard (après le 8 mars 1662, voir la note 1 de la p. 9 du T. XIII, et comparez la note 4 de la p. 266 qui précède) que Huygens apprit à connaître le manuscrit de Snellius. |
362 dernier alinéa |
Comparez la note 12 de la p. 455 et le § 4 de la p. 507. |
365 note 5 ligne 3 |
en lieu |
au lieu |
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Au lieu de |
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381 ligne 15 |
La forme incorrecte ‘sigillatim’ au lieu de ‘singillatim’ paraît avoir été souvent employée au temps de Huygens. Nous la trouvons p.e. dans les ‘Principia’ de 1687 de Newton (e.a. vers la fin de l'‘Autoris Praefatio ad Lectorem’). Un siècle plus tôt M. de Montaigne écrivait (‘Essais’ Livre II, Ch. XII, p. 376 du T. II de l'éd. de 1865 de le Clerc et Prevost-Paradol): ‘Et des hommes dict Apuleius [De Deo Socratis], sigillatim mortales, cunctim perpetui’, quoique les éditions d'Apulée aient ‘singillatim’. |
417 ligne 24 |
parelleli |
paralleli |
418-421 |
L'explication donnée par Huygens de l'agrandissement apparent des dimensions et des distances des astres qui se trouvent près de l'horizon s'accorde avec celle donnée par Alhazen au § 55 du Livre VII (p. 280) de son ‘Opticae Thesaurus’ que Huygens connaissait (voir la p. 9 du T. I et la p. 45 du T. II). |
421 ligne 8 d'en bas |
adulterinos |
Huygens aurait dû écrire: adulterini. |
430 note 2 |
note 1 |
note 2 |
434 ligne 20 |
Ce que |
Ce qui |
438 ligne 20 |
cur |
sur |
438 ligne 23 |
en |
et |
443 ligne 7 d'en bas |
La forme incorrecte ‘seorsim’ au lieu de ‘seorsum’ se trouve aussi chez les auteurs contemporains de Huygens (p.e. à la p. 1 de la ‘Ratio Operis’ de l'ouvrage ‘De Consensu veteris et novae Philosophiae’ de 1663 de J.B. Duhamel). |
452 ligne 2 d'en bas |
Il s'agit sans doute de Gijsbert Eyckberg (Tome I, p. 412). |
453 note 3 |
la dernière phrase du |
les notes 12 et 14 de la p. 455 et le § |
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présent Appendice |
4 de la p. 507. |
456 ligne 4 |
exteriorem |
exterior[is] |
457 ligne 2 |
Sol oriens visus telescopio ellipticus. Le père Constantyn parle déjà en 1629 dans une lettre à Golius (éd. Worp, I, p. 259) - c'est la lettre où il dit à propos de la ‘refractionum ratio’ que W. Snellius, mort en 1626, ‘gloriari sedulo coeperat, nihil earum amplius rerum se fugere’, ce qui induisit Golius à s'enquérir des manuscrits de Snellius (comparez la note 4 de la p. 357) - des traités de Chr. Scheiner de 1615 ‘Sol ellipticus’ et de 1617 ‘Refractiones coelestes sive Solis elliptici Phaenomenon illustratum’, que Christiaan ne mentionne nulle part. Scheiner contemple, comme Chr. Huygens, le soleil elliptique avec un télescope: voir p.e. la p. 3 du traité de 1615. Il dit (p. 22) avoir remarqué plus tard que Kepler avait déjà observé que le soleil ne paraît pas toujours rond [voir la p. 131 ‘Sol circa horizontem non rotundus’ du traité ‘Ad Vitellionem Paralipome- |
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Au lieu de |
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na’ de 1604]. Scheiner ne parle pas de rayons courbés: d'après la p. 3 du traité de 1617 la réfraction des rayons solaires a lieu ‘in conuexa vaporum superficie’. |
480 et 488 |
Les formules pour les angles β et γ qui résument certains calculs de Huygens nous ont été communiquées il y a quelques années par Mons. C. Visser qui se propose d'écrire une dissertation (thèse) sur la théorie des couronnes et des parhélies de Huygens comparée à des théories plus modernes (voir les p. 360 et 362). |
495 ligne 18 |
21) |
22) |
507 note 11 |
La Bibliothèque Nationale de Paris possède un exemplaire de la brochure imprimée très rare, dont il est ici question. Nous remercions le Directeur de la Bibl. Nat. et surtout Mons. H.L. Brugmans d'avoir bien voulu nous indiquer d'après cet exemplaire les variantes du texte de la Pièce qui constitue le § 3 de notre Appendice XI. |
526 ligne 13 |
Nous avons donné à Calthoff le prénom Caspar quoique ce prénom ne soit mentionné ni par Chr. Huygens ni dans la Correspondance de Constantyn père: nous avons réussi à identifier le mécanicien de Dordrecht avec l'ingénieur Caspar Kaltoff nommé par le Marquis de Worcester dans la Dédicace de son ‘Century of Inventions’ de 1663. Voir à ce sujet l'article sur Calthoff mentionné à la p. 542 qui précède.
Remarquons encore que Huygens reçut le 1 février 1655 (voir la lettre de Colvius citée dans la note 1 de la p. 254) la forme perfectionnée de Calthoff, et que la lentille qui lui permit de découvrir la première lune de Saturne fut apparemment taillée par lui le 3 février suivant (voir la p. 13 du T. XV). C'est donc, pensons-nous, dans cette forme-là de Calthoff qu'il la tailla. |
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