Briefwisseling. Deel 6: 1663-1687
(1917)–Constantijn Huygens– Auteursrecht onbekend6216. Prinses Amalia van OranjeGa naar voetnoot7). (H.A.)‘J'ay veu avec satisfaction par vos dernieres depesches du premier de ce mois, et par celles du baron de Blumenthal, les particularitéz de son audience, qui me donnent esperance de quelque bon succes de nos fascheuses affaires. J'attendray par vos prochaines la suite des responses du Roy. Nous verrons si les offices dont Monsieur Boreel trouve bon de seconder ceux dudit baron, | |
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y porteront quelque poids; mais quoy qu'il en soit, en cette conjoncture je fais particuliere reflexion sur la declaration du pour l'amour de luy, de Sa Maj.té. Cependant il est bon de mettre toutes pieces en oeuvre, et tascher une fois de sortir d'affaire. Sur quoy je vous donne a penser, s'il ne sera pas bon que vous commenciéz aussi derechef a paroistre, et que vous demandiéz audience particuliere de Sa Maj.té, pour tascher de haster sa response finale, et mesme s'il y a moien avant le depart dudit baron de Blumenthal. Pour ce qui est des offices de l'Angleterre, je ne m'y arresterois gueres, n'estoit que le Sieur BrandtGa naar voetnoot1) en estant arrivé ici ce matin m'a dit que le Roy de la Grande Bretagne me prioit fort de ne rien resouldre finalement en l'affaire d'Orange, qu'on n'ayt veu l'issuë de l'audience du lord Hollis; que si elle demeure accrochée, ou qu'elle ne se donne point, ou que se donnant, le Roy tres-Chrestien persiste dans ses premieres resolutions, Sa Maj.té d'Angleterre m'a faict asseurer, qu'elle prendra lors d'autres mesures et expediens en nos affaires qu'elle me fera sçavoir. Par ou vous jugeréz bien que ce Roy estant aussi tuteur de mon petitfilz, il sera absolument necessaire d'attendre l'effect de l'entremise de son ambassadeur, et ensuite les propositions que le Roy son Maistre trouvera bon de nous faire. J'ay creu a propos de vous donner connoissance de tout ceci, pour response a ce que vous me demandéz presque par toutes vos lettres, touchant de nouveaux ordres’. Het verwondert mij, dat de heer Boreel zich beklaagt over mijn antwoord aangaande zijn zoonGa naar voetnoot2); hij weet toch wel, dat deze meer dan drie jaren zijne betrekking bij mijn kleinzoon niet heeft waargenomen, en het nog niet zeker is, wanneer hij dat kan doen. - De heer de MontieresGa naar voetnoot3) had u wel zijn verzoek en afschrift van de akte mogen toezenden, volgens welke hij beweert, dat aan zijn schoonzoon, wijlen den heer VialGa naar voetnoot4), 300 livres toekomen. - Wat la Pize betreft, ik beklaag hem zeer, maar er schijnen bij al die plagerijen ook wel particuliere dingen te zijn. Ik had gewenscht, dat gij persoonlijk te Oranje kennis hadt kunnen nemen van al die geschillen. En ik vind het gevaarlijk hem nu zijn verzoek toe te staan. A la Haye, ce 7 Febvrier 1664. |
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