nemen. Gij zegt te recht, dat de protestanten te Oranje zich wat stil moeten houden. ‘Je vien de recevoir vostre derniere du 3e de ce mois ou je voy avec extreme satisfaction le langage que vous avéz tenu au comte de S.t Albans. C'est justement ce qu'il luy falloit. Je vous en remercie et vous prie de continuer tousjours de la sorte. Est il possible qu'il n'a point de honte d'avancer ce qu'il faict pour ces trois cocquins, et de preferer si ouvertement leurs interests a ceux du nepveu du Roy?’ A Turnhout, ce 8e Aoust 1663.