Briefwisseling. Deel 5: 1649-1663

6118. Prinses Amalia van Oranje. (H.A.)

De kanselier en lord Hollis gelooven dus, dat de tusschenkomst van den Koning zal helpen. Intusschen wil ik gaarne weten, wat de heeren denken van uwe zes artikelen²⁾. Het doet mij genoegen, dat de graaf van S.^t Albans

2) Dit Project sur le pis-aller, door Huygens gesteld, luidt aldus:
Si le Roy de France persiste, il faudra
1. Ou luy complaire et mettre un gouverneur papiste à Orange,
2. Ou tascher de l'induire à ce qu'il se vueille contenter qu'on y mette un Cath. Romain seulement pour ceste fois, afin de sauver la reputation du Roy,
3. Ou d'y pouvoir mettre un Cath. Rom. comme de nostre mouvement, et ne le promettant que soubs main au Roy, qui exterieurement cesseroit de le pretendre,
4. Ou que le Roy se vueille contenter d'un compliment de bonne intelligence et voisinage, que nous ordonnerions luy estre faict par les gouverneurs qu'on y envoyeroit soit d'une ou d'autre religion,
5. Ou que le Roy en evacuant la place aggrée que presentement j'y aille par provision, en promettant, qu'on taschera de trouver personne capable et digne de l'employ. Et ce seulement pour veoir ce que le temps pourroit donner,
6. Ou finalement y envoyer un Cath. Romain de condition, et qui n'ayt gueres envie d'y demeurer, en luy donnant un substitut ou lieutenant de la Religion, qui peu à peu s'y establisse par l'absence de l'autre, et obtienne le tesmoignage de bonne volonté et mesme l'intercession des Catholiques pour sa continuation.

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niet bij die conferenties aanwezig is geweest; ‘veu ses beaux engagemens’, is er van hem geen goeds te verwachten. Gij moet uw best blijven doen in zake de schulden. ‘Ce dessein de les representer ainsi en masse au Parlement ne me semble pas mauvais, esperant que dans la disposition ou ilz semblent estre de vouloir acquitter les debtes de Sa Maj.^té, la justice et equité des nostres les obligera a en preferer le payement a toutes autres. Cependant je m'estonne de ce que Monsieur le chancelier dit, que le dot de feu la Princesse Royale ne regardoit pas le Parlement’. Nu, als wij op de eene of andere wijze het geld maar krijgen. - Van de zaak der pachters zal ik den Raad verwittigen; zij moeten het geld afdragen. De heeren Sylvius hebt gij goed de les gelezen. De brieven van baron de Cosans en de andere verzekeringen van katholieken¹⁾ zag ik met groot genoegen; bedank hen van mijnentwege. A Breda, ce 5^e Juillet 1663.

1) Zie No. 6105 en 6106.