† Lettre LXXIb.
P. Pfintzing au Cardinal de Granvelle. Il lui conseille de céder (MS. B. GR. X. p. 85).
...Sa M. dépesche presentement le courrier des Seigneurs qu'elle ha détenu si longuement, mais je m'en doubte que la responce qu'il rapporte ne contentera pas à toulz, et moings mettera tel remède aux affaires et troubles, qu'il convient et l'extrême nécessité requiert. Dieu doint, par Sa grâce, que le tout succède mieulx que l'apparence ne nous menasse. A moy me desplaict grandement que les choses doibvent venir à telz et si dengereulx et scandaleux termes, dont Mr de Vaudenau m'a faict relation bien particulière. Et certes, comme vostre très-humble et affectionné serviteur, désireux de vostre salut, je désirerois que v. Sr reguardast de se désenvelopperGa naar voetnoot1 de tels dangiers et cederet aliquantulum tempori, avant que les choses vinsent à l'extrême. Estant asseuré que le temps, veritatis mater, remédira à tout. Je suis certain que