Aan Max Nettlau
[Paris], 22 mars 1902
8 rue Berthe.
Cher Nettlau,
C'est entendu, amnistie pleine et entière. Nous viendrons un des jours de cette semaine à la brasserie que vous indiquez. A l'intérieur, n'est-ce pas? Et entre 9 h. et 10 h. du soir. Je vous écrirai pour vous fixer le jour où nous viendrons. Pas mercredi prochain. Peut-être mardi ou jeudi. J'écrirai. Mais ne voulez-vous pas venir me prendre au Figaro, lundi soir vers sept heures? Nous irons boire ‘l'apéritif de la paix’. A moins de contre-avis - que j'espère ne pas recevoir - je vous attendrai donc lundi soir au journal. - Nos meilleures amitiés.
Affectueusement votre A.C.