Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
(1976)–Willem Bentinck– Auteursrechtelijk beschermdDen Haag, 28 juli 1750Je reçus avant hier votre lettre du 16. par le courier Salomon et en même tems un mot de monsieur Verdun. Je suis charmé de pouvoir m'imaginer, que vous êtes parti de VienneGa naar voetnoot1) et que vos affaires particulières seront finies de manière que vous soyez en sûreté. Je me flatte seulement à présent, que vous ne serez pas retenu longtems à Hanovre. Le greffier vous adressera là un paquet concernant les Paîs-Bas et la barrière, à la fin de cette semaine ou au commencement de l'autre. Quant à la Bavière vous aurez la résolutionGa naar voetnoot2) prise à ce sujet, mais cette dernière affaire ne vous y retiendra pas, parceque l'envoyé Hop y est déjà pour conclure ce traité. Par parenthèse je vous prie: ménagez un peu monsieur Hop; il me paroît, qu'il fait assez bien à présent et il a prié le greffier de travailler à le mettre bien avec vous. Ayez soin, s'il vous plaît, de m'avertir de vos démarches, pour que je sache toujours où vous trouver et que je sache précisement quand vous arriverez à Doorwerth. J'espère, que Pallardy sera de meilleur humeur après avoir gagné son proces. Le Prince a dit à Palairet, qu'il vous avoit écrit, | |
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qu'il faisoit Pallardy collonel. Il l'a fait de lui-même, sans que je lui en aye parlé; je n'ai pas même voulu lui en dire un mot, parceque j'avois eu le vent, qu'il ne vouloit faire et j'aimois mieux, qu' on ne le dût qu'à lui seul. Je vous ai fait écrire la poste passée par AllGa naar voetnoot3). la disposition de la drossarderie de MuydenGa naar voetnoot4). Je crois, que c'est un grand pas de clerq et qu'il ne fera jamais grand bien dans ce voisinageGa naar voetnoot5). On reste toujours également bien avec des gens dont on a dit le diable, à qui l'a voulu entendre; on les consulte, on les écoute et on s'engage de plus en plus avec eux. Le tout sous prétexte d'attendre votre retour pour prendre des mesures. Le pauvre Holdernesse a perdu son fils. |
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