Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
(1976)–Willem Bentinck– Auteursrechtelijk beschermdWenen, 18 februari 1750(Brunswijk zal niet eerder kunnen vertrekken, dan omstreeks Pasen. Dan nog een oponthoud ‘chez lui’. Zaak Keulen. Nog niet hopeloos. Dringt opnieuw aan op het sluiten van een verdrag desnoods zonder Engeland). Le Prince laGa naar voetnoot1) devroit selon moi reporter en Hollande et si l'Angleterre ne veut pas en être, la conclure sans l'Angleterre. Il y a assez de raisons à alléguer la nécessité indispensable de la chose, pendant que la France travaille de tous côtez, la sûreté de la frontière et la communication avec l'Allemagne de ce côté-là, le crédit que cela donnera à la République. Surtout si elle le fait seule, la probabilité que les ministres anglois seront obligés de suivre cet exemple et de donner des subsides en cas de besoin à ce prince et à d'autres. Outre que cela mettroit la République sur le pied de donner le ton à l'Angleterre, ce qui doit être selon moi le but et ce que j'ai longtems souhaité de voir. Le Prince a assez fait voir, qu'il ne doit pas être soupçonné d'avoir rien voulu faire par complaisance. Il faut aussi, qu'il fasse voir, que les raisons qu'il y a en faveur de cette démarche sont par elles-mêmes si fortes, qu'elles doivent convaincre toute personne bien intentionnée et sans prévention. Et reëllement toutes les objections prouvent trop, car elles prouvent, que si l'Angleterre ne veut pas se conduire selon les règles de la prudence et de la bonne politique, nous devons tout abandonner et laisser aller à vau l'eau. | |
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J'espère, que l'électeur de Cologne attendra l'effet des démarches faites en Angleterre et pour cet effet j'ai prié, qu'on écrivit d'ici au comte KönigseggGa naar voetnoot2) de gagner du tems. Je souhaite, que le tout se puisse faire à tems. (Zaak van de barrière nog niet opgeschoten). |
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