Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
(1976)–Willem Bentinck– Auteursrechtelijk beschermd511
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heures pour me convaincre qu'il devroit être ministre, quoi qu'il n'y entende rien. Ce n'est, dit il, ni par jalousie, ni par vanité, mais uniquement pour la gloire et l'honneur de l'état. Je ne connois rien de plus plat ni de plus sot que lui. Je l'userai, tel qu'il est, et suis bien aise d'avoir un témoin de ma conduite dans la personne de monsieur CornabéGa naar voetnoot2). Marselis dit, je pourrois écouter tout ce que vous disiez, si j'étois ministre et je disois rien, cela ne vous teniroit pas. J'ai compris, qu'il n'a point écrit autrement qu'à son frère, qui parlera peut être. Dixi. Je n'ai par le loisir de vous envoïer la copieGa naar voetnoot3), que je vous ai promis. |
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